LaserOstop Belgique – Sevrage tabagique laser https://www.laserostop.be Arreter de fumer - Laser anti-tabac Tue, 20 Aug 2024 13:30:52 +0000 fr-FR hourly 1 https://meksor.shop/wp-content/uploads/2020/05/cropped-laseropstopfavicon-32x32.png LaserOstop Belgique – Sevrage tabagique laser https://www.laserostop.be 32 32 Arrêter de fumer en été est possible avec laserOstop Belgique https://meksor.shop/arreter-de-fumer-en-ete/ Tue, 20 Aug 2024 09:37:35 +0000 https://meksor.shop/?p=119431
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Les avantages pour arrêter de fumer en été

L’été présente une combinaison unique de facteurs qui peuvent grandement faciliter le processus de sevrage tabagique.

Un changement de routine bénéfique

Durant l’été, les vacances et le ralentissement des obligations professionnelles offrent une chance de se recentrer sur soi-même et de se fixer de nouveaux objectifs, comme arrêter de fumer. Cette période est souvent marquée par une diminution du stress lié au travail, ce qui peut réduire les envies de fumer. En se déconnectant de la routine habituelle, il devient plus facile de briser les habitudes liées à la consommation de tabac.

En outre, le sentiment de bien-être associé aux vacances et au temps libre peut diminuer les tentations de fumer. On est davantage disposé à se détendre et à profiter des plaisirs simples de la vie, sans avoir besoin de se réfugier dans la cigarette pour soulager une quelconque tension.

Les bienfaits des activités en plein air

L’été, avec son climat agréable, invite à passer plus de temps à l’extérieur. Les activités en plein air, qu’il s’agisse de promenades, de randonnées, de balades à vélo ou de baignades, deviennent des alternatives saines à la cigarette. L’exercice physique est non seulement bénéfique pour la santé, mais il aide également à réduire le stress et à améliorer l’humeur, grâce à la libération d’endorphines.

Ces moments passés en plein air offrent également l’occasion de détourner son attention des envies de fumer. Que ce soit lors d’une activité physique ou d’une simple détente au soleil, chaque instant loin de la cigarette renforce la détermination à rester sur la bonne voie.

Un environnement social favorable

L’été est aussi une période propice aux rencontres et aux moments passés en famille ou entre amis. Ces interactions sociales jouent un rôle crucial dans le soutien à l’arrêt du tabac. Le fait de partager ses objectifs avec ses proches permet de bénéficier d’un encouragement précieux. Les discussions avec d’anciens fumeurs, qui sont parvenus à arrêter de fumer en été, peuvent s’avérer particulièrement inspirantes et motivantes.

De plus, les rassemblements estivaux se déroulent souvent en extérieur, dans des environnements où fumer est moins courant, ce qui peut réduire les tentations et renforcer l’engagement à rester non-fumeur.

Un air plus pur pour soutenir la santé respiratoire

L’été est également synonyme d’un air plus pur, ce qui est bénéfique pour la santé respiratoire. Passer du temps en plein air permet de se libérer des environnements intérieurs souvent pollués et de commencer à purifier ses poumons des toxines accumulées durant les années de tabagisme. L’air sec et chaud est moins irritant pour les voies respiratoires, ce qui facilite la récupération et encourage la poursuite du sevrage.

 

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Comment se préparer efficacement à arrêter de fumer en été ?

La réussite du sevrage tabagique passe par une préparation minutieuse. Il est important de bien comprendre son niveau de dépendance, de se fixer un plan d’action réaliste et de rechercher du soutien.

Évaluer son niveau de dépendance

Avant de se lancer dans l’arrêt du tabac, il est essentiel de bien évaluer son niveau de dépendance à la nicotine. Le test de Fagerström, par exemple, est un outil simple et couramment utilisé pour mesurer l’intensité de l’addiction. Ce test tient compte de la fréquence de consommation et du besoin de fumer dès le matin. Comprendre son niveau de dépendance permet de mieux adapter les stratégies de sevrage et de se préparer psychologiquement aux défis à venir.

Établir un plan d’action

Une fois la décision prise, il est crucial de se fixer une date d’arrêt précise. Cette date doit être choisie avec soin, suffisamment proche pour maintenir la motivation, mais assez éloignée pour permettre une préparation adéquate. Durant cette période de préparation, il est important d’identifier les situations à risque, c’est-à-dire celles qui déclenchent habituellement l’envie de fumer, comme le café du matin, le stress au travail ou les soirées entre amis.

Il est ensuite utile de planifier des stratégies pour éviter ou gérer ces situations. Cela peut passer par des alternatives simples comme boire un verre d’eau, mâcher un chewing-gum ou pratiquer une technique de relaxation. L’essentiel est de créer une rupture avec les habitudes qui sont liées à la cigarette.

Créer un environnement favorable

Pour maximiser les chances de succès, il est important de créer un environnement qui favorise l’arrêt du tabac. Cela inclut le fait de se débarrasser de tous les objets liés au tabac, comme les cendriers, briquets ou même les cigarettes restantes. Il est aussi crucial de prévenir ses proches de sa décision afin qu’ils puissent offrir leur soutien et éviter de fumer en votre présence.

Chercher du soutien extérieur

En plus du soutien des proches, il peut être très bénéfique de rejoindre un groupe de soutien, que ce soit en ligne ou en personne. Ces groupes offrent un espace de partage d’expériences et de conseils, ce qui peut grandement renforcer la motivation. Le fait de savoir que l’on n’est pas seul à traverser ces difficultés peut être un facteur de succès important.

Les aides pour arrêter de fumer en été

En plus des méthodes traditionnelles comme les substituts nicotiniques, il existe des solutions plus innovantes pour accompagner l’arrêt du tabac. Parmi celles-ci, notre méthode laserOstop® se distingue par son efficacité et sa simplicité pour vous aider à arrêter de fumer en été mais aussi tout au long de l’année.

La méthode laserOstop®

La méthode laserOstop® utilise la photobiomodulation pour stimuler des points spécifiques du corps, notamment au niveau de l’oreille, afin de réduire les symptômes de sevrage et vous aide ainsi à arrêter de fumer. Notre technique est non invasive, indolore, et peut souvent être réalisée en une seule séance.

Le principe repose sur la régulation des neurotransmetteurs dans le cerveau, ce qui aide à diminuer le stress et à arrêter de fumer. Notre méthode est sans danger et peut être utilisée par tous, quel que soit l’âge ou le sexe.

Une méthode qui marche

Les résultats de la méthode laserOstop® sont généralement rapides et visibles dès la première séance, avec une diminution notable des envies de fumer et une amélioration du bien-être général. Pour ceux qui pourraient connaître une rechute, des séances supplémentaires sont offertes gratuitement, garantissant ainsi un soutien continu.

Un avenir sans tabac est possible avec laserOstop

Arrêter de fumer demande du temps, de la patience et une grande volonté, mais les bénéfices en valent largement la peine. Dès les premières semaines sans tabac, on observe des améliorations notables de la santé : meilleure respiration, diminution de la toux, regain d’énergie. À long terme, les risques de développer des maladies graves, comme le cancer du poumon ou les maladies cardiovasculaires, sont considérablement réduits.

L’été est le moment idéal pour prendre la décision d’arrêter de fumer. Les conditions favorables de cette saison, associées à une bonne préparation et à l’utilisation de méthodes efficaces comme la méthode laserOstop®, peuvent grandement augmenter les chances de succès. Chaque petite victoire sur la cigarette est un pas de plus vers une vie plus saine et plus libre. Alors, pourquoi ne pas profiter de cet été pour tourner définitivement la page du tabac et entamer une nouvelle étape de votre vie ?

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Dents du fumeur : quand le tabac nuit à la santé bucco-dentaire https://meksor.shop/dents-du-fumeur-et-dangers-sante-dentaire/ Tue, 04 Jun 2024 14:15:56 +0000 https://meksor.shop/?p=119038
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Comprendre les méfaits du tabac sur la santé

La cigarette, un véritable cocktail de substances nocives

Que vous consommiez du tabac roulé, des cigarillos ou des cigarettes filtres, fumer expose votre organisme à plus de 7 000 produits chimiques différents, dont au moins 250 sont connus pour être nocifs, agissent sur les dents du fumeurs et sa santé bucco-dentaire. Et parmi eux, environ 70 peuvent causer un cancer.

La nicotine

Il s’agit d’un alcaloïde naturellement présent dans la plante de tabac. C’est le principal composé psychoactif de ce dernier, celui qui est responsable de la dépendance des fumeurs. Entre autres effets, cette substance stimule le système nerveux central, accélère le rythme cardiaque et augmente la pression artérielle. Elle favorise aussi le risque de formation de caillots sanguins et contribue au durcissement des artères (athérosclérose).

Les goudrons

Des goudrons sont produits lors de la combustion du tabac. Lorsqu’ils sont inhalés, ils contribuent à l’obstruction et à l’inflammation des poumons, facilitant ainsi l’apparition de maladies respiratoires chroniques, comme la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’asthme ou l’emphysème. De plus, ils contiennent des substances cancérigènes qui favorisent le développement de cancers du poumon, de la gorge et de la bouche.

Le monoxyde de carbone

Produit lors de la combustion du tabac, le monoxyde de carbone est un gaz toxique qui se lie à l’hémoglobine dans le sang plus efficacement que l’oxygène. En prenant sa place, il réduit ainsi la capacité du sang à transporter ce dernier vers les organes et les tissus. Cela peut entraîner des problèmes cardiovasculaires, des essoufflements et une diminution de la performance physique.

Les métaux lourds et autres produits chimiques toxiques

Une cigarette contient une large variété de substances que le corps humain n’est pas censé ingérer :

  • plomb
  • arsenic
  • cadmium
  • ammoniaque
  • benzène
  • formaldéhyde
  • acroléine
  • etc.

Ces substances toxiques s’accumulent dans les tissus et peuvent causer un large éventail de problèmes de santé graves. L’exposition à long terme à ces produits chimiques peut occasionner des dommages à presque tous les organes du corps, avec un risque accru de maladies cardiaques ou respiratoires et de cancers divers.

Les liens entre tabagisme et santé bucco-dentaire

Exposant directement les dents, les gencives et la langue du fumeur à la fumée qui contient de nombreuses substances dangereuses, le tabagisme a un impact négatif sur la santé bucco-dentaire. C’est bien simple, tous les aspects de la santé de la bouche sont concernés. Fumer n’affecte pas seulement l’apparence de votre sourire et votre haleine, mais favorise également le développement de maladies potentiellement graves au sein de la cavité buccale, notamment de cancers. Et certaines de ces pathologies peuvent elles-mêmes évoluer vers des problèmes qui impactent votre santé en général.

Les effets de la cigarette sur les gencives et les dents du fumeur

Les effets du tabac sur les gencives

Les composés toxiques auxquels le tabagisme expose la bouche interfèrent avec le bon fonctionnement des cellules gingivales. En compromettant le renouvellement cellulaire, il altère la santé des gencives et augmentent le risque d’infections de la bouche. De fait, il constitue l’un des facteurs de risque les plus significatifs pour le développement de maladies parodontales, une infection des tissus qui soutiennent les dents qui peut aller jusqu’à l’os.

Les personnes qui fument sont plus susceptibles que les non-fumeurs de souffrir de :

  • gingivite (inflammation des gencives) avec ou sans saignements ;
  • parodontite (détérioration des tissus et des os soutenant les dents) ;
  • déchaussement dentaire (rétractation des tissus gingivaux et osseux recouvrant les racines dentaires) pouvant conduire à la perte des dents.

De plus, chez un fumeur, la circulation sanguine dans les tissus gingivaux est moins efficace, ce qui réduit leur capacité à guérir après une blessure ou une intervention chirurgicale (extraction dentaire, curage d’abcès, greffe osseuse, pose d’implant dentaire, etc.). Conséquence : les traitements dentaires aboutissent plus souvent à l’échec en cas de tabagisme que chez un non-fumeur.

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Les effets du tabac sur les dents du fumeur

Dents jaunes du fumeur

À cause du goudron et de la nicotine qu’ils inhalent régulièrement, les gens qui fument ont souvent les dents jaunes et des taches dentaires. Bien que la nicotine soit incolore à la base, elle jaunit lorsqu’elle entre en contact avec l’oxygène. De son côté, le goudron est naturellement foncé et s’accumule facilement sur l’émail des dents, engendrant des taches tenaces de coloration jaune à brune. Le sourire n’est donc pas le principal atout de séduction des consommateurs de tabac !

Un risque de caries accru

La fumée de cigarette perturbe l’équilibre de la flore buccale. Elle appauvrit le microbiote naturel de la bouche et favorise la croissance des bactéries pathogènes qui contribuent à la formation de caries. De plus, le tabagisme assèche la bouche en réduisant la production de salive. La cavité buccale ne bénéficie donc pas d’un nettoyage aussi efficace qu’elle le devrait et de la protection naturelle contre les caries qu’il confère.

Perte de dents et tabagisme

En favorisant les maladies parodontales, le tabagisme entraîne un déchaussement dentaire. Cela signifie que les gencives du fumeur se rétractent progressivement et que le tissu osseux soutenant les dents s’amenuise. Les dents deviennent alors plus mobiles et peuvent finir par tomber si rien n’est mis en place. Si ce problème nuit bien sûr à l’esthétique du sourire, il empêche surtout de mâcher convenablement et gêne la prononciation de certaines syllabes.

Les répercussions des problèmes bucco-dentaires liés au tabagisme

Le cancer buccal

Le tabagisme constitue un facteur de risque majeur dans le développement du cancer de la bouche. Les fumeurs sont six fois plus susceptibles que les non-fumeurs de développer des cancers oraux. Ils représentent à eux seuls 75 % des cas de cancer buccal. En effet, les substances chimiques présentes dans la fumée de tabac endommagent l’ADN des cellules de la bouche. Elles augmentent ainsi le risque de mutation et de développement de cellules cancéreuses.

Les symptômes pouvant évoquer ce type de cancer incluent :

  • des plaies dans la bouche qui ne guérissent pas ;
  • des plaques blanches ou rouges sur les gencives, la langue, l’intérieur des joues ;
  • des douleurs ou une sensation de blocage dans la gorge ;
  • des difficultés à mâcher ou à avaler ;
  • une modification de la voix.

L'halitose (mauvaise haleine)

Fumer peut provoquer diverses infections, notamment des caries ou une gingivite, dont l’un des effets peut être une mauvaise haleine. Ce phénomène est accentué par le fait que le lavage buccal naturel opéré par la sécrétion de salive est moins efficace chez les personnes qui fument, car leur production salivaire est plus faible.

La diminution du goût

Le tabagisme affecte négativement les capteurs gustatifs et olfactifs. Il réduit ainsi la capacité à goûter et à sentir les aliments. L’augmentation du plaisir de manger fait d’ailleurs partie des premiers bénéfices obtenus en début de sevrage tabagique.

Des problèmes dentaires qui peuvent affecter la santé cardiaque

Les problèmes dentaires non traités, en particulier les maladies parodontales, peuvent avoir un impact sur la santé cardiaque. Les bactéries de la bouche peuvent s’infiltrer dans la circulation sanguine et affecter directement le muscle du cœur, provoquant une péricardite. De plus, l’inflammation chronique des tissus buccaux peut favoriser l’inflammation systémique, un facteur de risque connu pour les maladies cardiaques.

Lutter contre les méfaits du tabac sur la santé bucco-dentaire

Votre dentiste est votre allié !

Lutter contre les méfaits du tabac sur la santé bucco-dentaire est essentiel pour maintenir non seulement une bouche saine, mais aussi pour préserver la santé générale. C’est pourquoi il est important de planifier des visites régulières chez votre dentiste, au moins deux fois par an. Ce sera l’occasion d’effectuer un examen bucco-dentaire poussé et de réaliser un détartrage pour limiter le risque d’infection.
 
Parallèlement, votre dentiste peut vous fournir des conseils personnalisés sur la meilleure façon de prendre soin de vos dents et de vos gencives en tenant compte de votre tabagisme. Il peut également vous proposer des traitements préventifs pour prendre soin de votre hygiène bucco-dentaire de la manière la plus efficace possible.

Misez tout sur une hygiène bucco-dentaire renforcée

Bien qu’elle soit importante pour tout le monde, l’hygiène bucco-dentaire est une préoccupation cruciale pour les consommateurs de tabac. Si vous n’avez pas l’intention d’arrêter de fumer, c’est le seul moyen de retarder l’apparition de problèmes. Dans l’idéal, veillez à :

  • Brosser vos dents au moins deux fois par jour, pendant minimum deux minutes, pour enlever la plaque dentaire et réduire le risque de caries et maladies parodontales.
  • Utiliser quotidiennement du fil dentaire ou des brossettes interdentaires pour éliminer les particules alimentaires et la plaque là où la brosse ne peut pas passer ainsi que pour percer les poches dans lesquelles les bactéries s’épanouissent au sein des gencives.
  • Employer un bain de bouche répondant à vos besoins pour prévenir la prolifération bactérienne et lutter contre la mauvaise haleine.
  • Remplacer votre brosse à dents tous les trois mois, ou dès que leur témoin d’usure vous l’indique, pour maintenir l’efficacité du brossage.

Arrêter de fumer, la meilleure solution pour préserver les dents du fumeur

L’arrêt du tabac a des avantages immédiats sur la santé bucco-dentaire. Le sevrage tabagique améliore instantanément, ou presque, l’haleine et la perception du goût et de l’odorat. À moyen terme, il réduit drastiquement le risque de maladies parodontales, de cancer de la bouche et engendre une meilleure cicatrisation des tissus buccaux. Il permet d’améliorer la circulation sanguine dans les gencives, de diminuer la probabilité de perdre des dents et de favoriser la réussite des traitements dentaires. Il peut même être indispensable au succès d’une pose d’implants.

Les méthodes pour arrêter de fumer

Le sevrage tabagique en général

L’arrêt du tabac est un défi pour de nombreuses personnes. Avec les bonnes méthodes et un soutien adéquat, il est possible de surmonter la dépendance à la nicotine. Plusieurs techniques peuvent être utilisées pour arrêter de fumer :

  • Les substituts nicotiniques (patchs, gommes, pastilles, inhalateurs) : ils apportent une dose mesurée de nicotine sans vous exposer aux autres substances nocives de la fumée de tabac. Ils doivent cependant faire l’objet d’un usage limité dans le temps.
  • Les médicaments sur ordonnance (varénicline, bupropion) : prescrits par un médecin généraliste ou un tabacologue, ils peuvent réduire les envies de nicotine et les symptômes de sevrage. Le suivi par un professionnel de santé est indispensable si vous en prenez.
  • La thérapie cognitive et comportementale (TCC) : elle aide à trouver des stratégies personnalisées pour gérer les envies de fumer et changer les habitudes liées au tabagisme.
  • Les groupes de soutien : parfaits pour échanger sur les difficultés et succès du sevrage, les groupes de soutien sont animés par des professionnels expérimentés.
  • Les applications et ressources en ligne : elles peuvent vous offrir un soutien quotidien et des conseils pour gérer le stress 24h/24, où que vous soyez.

La méthode laserOstop pour un sevrage tabagique réussi !

LaserOstop® est une méthode de sevrage tabagique sans molécules chimiques qui utilise la photobiomodulation pour stimuler des points spécifiques au niveau de l’oreille, similaires à ceux employés en acupuncture. En délivrant une dose prédéfinie d’énergie, elle vise à réduire les envies de nicotine, les fringales et l’anxiété liées à l’arrêt du tabac.

Ce traitement indolore, non invasif et sans effet secondaire agit en favorisant la libération d’endorphines, les hormones du bien-être, ce qui aide à diminuer le stress et l’envie de fumer. Jouant directement sur la dépendance physique à la nicotine, il vous permet de vous sevrer en une seule séance d’environ 1 heure.

Différentes publications scientifiques ont démontré les effets de cette technique d’acupuncture laser et des milliers de personnes sont parvenues à arrêter définitivement la cigarette grâce à la méthode laserOstop®. Vous souhaitez les rejoindre ? Prenez rendez-vous dès aujourd’hui dans l’un des centres spécialisés laserOstop® près de chez vous !

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Le tabac et le sport : une incompatibilité évidente https://meksor.shop/sportif-fumeur-incompatibilite-evidente-tabac-et-sport/ Sat, 04 May 2024 13:43:42 +0000 https://meksor.shop/?p=118435
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Sportif fumeur : un défi majeur pour la santé publique

Être sportif fumeur, plus fréquent qu’on ne le pense

Il est généralement admis tant par le grand public que par la communauté médicale que le tabagisme et la pratique sportive ne font pas bon ménage. Malheureusement, les sportifs fumeurs, qu’ils évoluent dans le cadre amateur ou professionnel, ne sont pas toujours conscients des dangers associés à leur consommation de tabac et de ses répercussions sur leur bien-être, leur confort et leurs performances physiques. Des études révèlent que bien que le pourcentage de fumeurs parmi les sportifs soit inférieur à celui de la population générale, leur nombre reste préoccupant du point de vue de la santé publique.

Non, le sport ne compense pas les effets néfastes du tabac !

De nombreux sportifs fumeurs sont convaincus à tort que l’activité physique peut annuler les méfaits du tabagisme. Cette idée erronée est alimentée par des croyances populaires telles que « faire du sport nettoie les poumons » ou « passer du temps à l’extérieur limite les maladies liées au tabac ». Il est crucial de dissiper ces illusions et de souligner l’importance primordiale d’arrêter complètement de fumer pour préserver une santé optimale.

Le tabac demeure toxique, même à faible dose

Il est essentiel de noter que même une consommation modérée de tabac peut être dangereuse, que l’on soit sportif ou non. Les effets sur la santé cardiovasculaire ne sont pas proportionnels à la quantité de tabac consommée. Même une faible consommation présente des risques significatifs pour la santé cardiovasculaire. Par conséquent, réduire le nombre de cigarettes fumées n’est bénéfique que s’il s’agit d’une étape vers un sevrage tabagique complet.

Le cas particulier du tabac non fumé (TNF)

Le tabac non fumé, qu’il s’agisse de tabac prisé ou chiqué, a fait son apparition dans le milieu sportif sous l’idée fausse qu’il offre les avantages de la nicotine sans les inconvénients du tabac fumé. Cependant, il présente également des risques pour la santé cardiovasculaire et un potentiel de dépendance non négligeable. De plus, dans certains contextes, le TNF peut être considéré comme du dopage selon les critères de l’Agence Mondiale Antidopage (WADA). Il est donc fortement déconseillé de recourir à cette pratique.

L’impact physiologique du tabagisme sur les sportifs

Les problèmes posés par le tabac, en bref

Le tabagisme est associé à divers problèmes de santé, notamment des problèmes respiratoires, un risque accru de cancer et des troubles cardiovasculaires. Lorsqu’on pratique régulièrement un sport, certains de ces problèmes peuvent être particulièrement gênants et influencer négativement les performances athlétiques. Voici quelques-unes des manières dont le tabagisme peut affecter la pratique sportive :

  • Réduction de la quantité d’oxygène circulant dans le sang, entraînant essoufflement et altération de la fonction musculaire.
  • Provocation de spasmes artériels, potentiellement mortels lorsqu’ils privent certains organes d’irrigation sanguine.
  • Influence sur la coagulation du sang, augmentant le risque de formation de caillots sanguins pouvant entraîner des complications cardiovasculaires.
  • Diminution du taux de bon cholestérol, augmentant les risques cardiovasculaires à long terme.
  • Réduction de la capacité pulmonaire et, par conséquent, de l’oxygénation optimale du sang.
  • Favorisation du développement de maladies respiratoires aiguës et chroniques ainsi que du cancer des poumons.
  • Impact sur la récupération après l’effort et la guérison en cas de blessure.

Responsable d’environ 73 000 décès par an en France, le tabagisme est une cause majeure de mortalité prématurée. L’arrêt du tabac est donc crucial, non seulement pour améliorer les performances sportives des fumeurs, mais également pour la santé globale de toute personne qui fume.

Focus sur le rôle néfaste du monoxyde de carbone

La combustion du tabac génère du monoxyde de carbone, une molécule inhalée à chaque bouffée de cigarette. Dans l’organisme, le monoxyde de carbone remplace l’oxygène dans les globules rouges, réduisant ainsi la capacité du sang à transporter l’oxygène vers les organes qui en ont besoin. Ce phénomène est en grande partie responsable de l’essoufflement pendant l’effort et de la diminution de la performance musculaire associée au tabagisme.

Le problème avec le monoxyde de carbone, c’est qu’une fois qu’il s’est fixé sur les globules rouges, il reste là. Il s’accumule donc dans la circulation sanguine au fil du temps. Après l’arrêt du tabac, il faut plusieurs semaines pour qu’il soit complètement éliminé.

L’influence du tabagisme sur la circulation sanguine

Le tabagisme altère la capacité des artères à se dilater et à se contracter en fonction des besoins du corps. Il provoque des spasmes et une réduction du flux sanguin, ce qui peut conduire à une occlusion artérielle, entraînant un infarctus.

En outre, le tabac favorise l’agrégation plaquettaire et l’épaississement du sang, facilitant la formation de caillots sanguins pouvant provoquer des thromboses veineuses et artérielles. Ces caillots sont susceptibles de provoquer des accidents vasculaires cérébraux, des infarctus du myocarde ou des ischémies des membres inférieurs, même chez les jeunes fumeurs. Ces troubles sont encore plus prononcés chez les femmes qui prennent des contraceptifs oraux.

Les effets sur le système pulmonaire

Les effets du tabagisme sur les voies respiratoires nuisent aux performances physiques, au confort pendant l’exercice et à la santé en général. La consommation régulière de tabac entraîne une inflammation, une obstruction des voies respiratoires et une altération des alvéoles pulmonaires, réduisant ainsi la capacité pulmonaire. Parallèlement, les sportifs fumeurs sont plus susceptibles de souffrir de maladies respiratoires chroniques, telles que la bronchopneumopathie obstructive chronique (BPCO) ou l’asthme, qui peuvent sérieusement limiter les capacités physiques. La toux et la production excessive de mucus associées au tabagisme favorisent également l’inflammation des bronches et la colonisation par des germes pathogènes responsables de bronchites ou de pneumonies.

En outre, le tabagisme peut retarder la guérison après une blessure. Il est déconseillé aux fumeurs de consommer du tabac dans les semaines qui suivent une intervention chirurgicale pour éviter les problèmes de cicatrisation. L’intoxication tabagique prolonge également les périodes de récupération après une activité physique intense, ces périodes étant associées à des micro-lésions qui ont alors du mal à se réparer.

L’impact sur le comportement alimentaire

La consommation de tabac altère considérablement la perception du goût et de l’odorat. Les fumeurs ont donc tendance à préférer les aliments gras ou sucrés. Chez un sportif, cela peut poser des problèmes pour suivre un régime particulier et augmenter les risques cardiovasculaires.

L’arrêt du tabac chez les sportifs

Les effets à court terme de l’arrêt du tabagisme

L’arrêt du tabagisme offre des avantages presque immédiats. Les sportifs qui cessent de fumer constatent rapidement une amélioration de leurs capacités pendant l’effort et une augmentation de leur confort général pendant l’activité physique. Dès les premiers jours suivant le début du sevrage tabagique, on observe :

  • une amélioration de la fonction pulmonaire ;
  • une meilleure oxygénation du sang ;
  • une réduction de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle au repos comme pendant l’activité ;
  • une augmentation de l’énergie et une réduction de la fatigue ;
  • une circulation sanguine plus saine ;
  • une réduction de la toux liée au tabagisme ;
  • une récupération après l’effort plus efficace ;
  • une meilleure endurance.

Parallèlement, d’autres bénéfices peuvent être constatés en dehors de la pratique sportive :

  • le retour à un sens du goût et de l’odorat optimal ;
  • une meilleure hygiène buccale, notamment une meilleure haleine ;
  • une amélioration de l’aspect de la peau et des cheveux.

La nécessité d’être motivé

Bien que la plupart des fumeurs souhaitent arrêter, l’addiction au tabac est souvent puissante et nécessite une véritable préparation pour entamer un sevrage. La motivation personnelle est essentielle pour atteindre cet objectif. Il est crucial d’être convaincu que l’arrêt du tabac est la seule manière de préserver sa santé, celle de ses proches et ses performances sportives.

Et si le sport était un moyen d’arrêter le tabac ?

Si améliorer ses performances sportives constitue une motivation pour arrêter de fumer, la pratique d’un sport peut également être un moyen efficace d’y parvenir ! Des études suggèrent qu’elle contribue à réduire le syndrome de sevrage, les envies de fumer, les pensées négatives et la prise de poids associés à l’arrêt du tabac. Bien sûr, le sport seul ne suffit pas à mettre fin définitivement à la cigarette, mais il peut être un allié précieux dans ce processus.

Adopter une approche personnalisée du sevrage

Une fois motivé, le sevrage tabagique peut prendre différentes formes en fonction des préférences individuelles. Un médecin tabacologue peut prescrire des substituts nicotiniques remboursés par la Sécurité Sociale, tels que des patchs, des gommes ou un inhalateur, sur la base d’un forfait annuel.

Bien que populaire, la cigarette électronique soulève des questions sur ses effets à long terme. Moins nocive que la cigarette traditionnelle, elle peut être utilisée à court terme pour faciliter la transition vers une vie sans tabac. Cependant, son utilisation ne devrait pas devenir une habitude quotidienne à long terme.

La thérapie cognitive et comportementale (TCC) peut aider à développer des stratégies pour résister à l’envie de fumer. D’autres méthodes, telles que l’acupuncture ou l’hypnose, sont également recommandées par certains ex-fumeurs. Enfin, la photobiomodulation, notamment avec la méthode laserOstop®, offre une approche novatrice et efficace pour arrêter de fumer en une seule séance.

Focus sur la méthode laserOstop® basée sur la photobiomodulation

La méthode laserOstop® repose sur la photobiomodulation et offre plusieurs avantages pour aider les sportifs fumeurs à arrêter de fumer.

Une technologie non invasive et sécuritaire

La méthode laserOstop® utilise une technologie non invasive et sécuritaire qui permet un sevrage en une seule séance, sans douleur, sans danger et sans manque. Elle stimule des points auriculaires spécifiques par un faisceau lumineux ciblant un plexus nerveux précis pour réduire la dépendance physique à la nicotine, sans laisser de traces sur l’oreille ni provoquer de sensations désagréables.

Qu’est-ce que la photobiomodulation exactement ?

La photobiomodulation est une méthode utilisée depuis plus de 40 ans dans divers domaines médicaux et esthétiques. La méthode laserOstop® l’utilise pour délivrer une dose d’énergie précise qui entraîne des réactions subatomiques se propageant au niveau microscopique, puis physiologique. Ce mécanisme agit directement sur les facteurs qui favorisent la dépendance à la nicotine et l’envie de fumer.

Une action ciblée sur le système nerveux

L’auriculothérapie agit sur le système nerveux en traitant des points réflexes spécifiques de l’oreille. Cette stimulation déclenche la sécrétion d’endorphines, qui jouent un rôle crucial dans l’interruption du processus physiologique de dépendance à la nicotine et la réduction des envies de fumer. Cette approche procure un effet apaisant et contribue à atténuer l’envie de fumer.

En conclusion, les sportifs fumeurs doivent prendre conscience des dangers du tabagisme pour leur santé et leurs performances sportives. L’arrêt du tabac, bien que difficile, est essentiel pour préserver leur bien-être et leur permettre d’atteindre leur plein potentiel athlétique. Une approche personnalisée du sevrage, combinant motivation personnelle, soutien médical et éventuellement des méthodes innovantes telles que la photobiomodulation, peut les aider à franchir cette étape importante vers une vie sans tabac.

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Le tabac et ses effets néfastes sur les poumons https://meksor.shop/effets-du-tabac-sur-les-poumons-attention-danger/ Mon, 08 Apr 2024 17:15:58 +0000 https://meksor.shop/?p=118313
Le tabac et ses effets néfastes sur les poumons laserostop belgique

Les ravages du tabac sur les poumons

Les poumons sont exposés de manière très directe aux effets néfastes du tabac. Lorsqu’une personne inhale la fumée de tabac, elle introduit dans son organisme un mélange toxique de produits chimiques, de goudron et de nicotine. Ces substances nocives pénètrent profondément dans les poumons, entraînant une série de problèmes graves.

Effets à court terme du tabac sur les poumons

Les effets immédiats de la fumée de tabac sur les poumons sont souvent douloureux et se manifestent rapidement. Ils incluent des irritations des voies respiratoires, des toux, une congestion nasale et une respiration sifflante. La fumée de tabac peut également déclencher une inflammation des bronches, conduisant à une bronchite aiguë. Les poumons s’efforcent d’éliminer les substances nocives, ce qui peut entraîner une production excessive de mucus et une sensation d’oppression dans la poitrine.

Détails des effets à court terme

Les irritations respiratoires

Les premières inhalations de fumée de tabac déclenchent les effets nocifs sur les poumons. La fumée contient des particules irritantes qui pénètrent profondément dans les voies respiratoires, provoquant une toux persistante, des picotements dans la gorge et une sensation de brûlure dans les bronches. De plus, elle endommage les cellules ciliées des voies respiratoires, perturbant ainsi le mécanisme d’auto-nettoyage des poumons.

L’inflammation bronchique

Le tabac induit une inflammation des bronches, menant à une bronchite aiguë. Cette inflammation entraîne une respiration difficile et douloureuse, avec des épisodes fréquents de toux productive, une production excessive de mucus et des douleurs thoraciques.

La respiration sifflante et l’essoufflement

Les irritations des voies respiratoires causent une respiration sifflante, également appelée sifflement respiratoire. Cela survient lorsque l’air peine à passer à travers les bronches rétrécies. De plus, les fumeurs peuvent ressentir un essoufflement anormal, même lors d’activités légères, en raison de la réduction de la capacité pulmonaire.

Des effets à long terme plus graves

À long terme, l’exposition continue à la fumée de tabac provoque des conditions pulmonaires plus graves. La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) constitue l’une des principales conséquences du tabagisme. Elle se caractérise par une réduction permanente du débit d’air, ce qui rend la respiration de plus en plus difficile au fil du temps.

De plus, le tabac augmente considérablement le risque de cancer du poumon. Les produits chimiques cancérigènes présents dans la fumée de tabac endommagent l’ADN des cellules pulmonaires, favorisant ainsi le développement de tumeurs malignes. Le cancer du poumon figure parmi les cancers les plus mortels, souvent diagnostiqué à un stade avancé, ce qui rend le traitement plus difficile.

Détails des effets à long Terme

Bronchopneumopathie Chronique Obstructive (BPCO):
La BPCO, conséquence grave du tabagisme à long terme, se caractérise par une obstruction permanente et progressive des voies respiratoires, rendant la respiration laborieuse. Les symptômes incluent une toux chronique, une production excessive de mucus et des crises d’essoufflement. Elle peut entraîner une réduction significative de la qualité de vie et des hospitalisations fréquentes.

Cancer du Poumon:
Le tabagisme est le principal facteur de risque du cancer du poumon. Les produits chimiques cancérigènes présents dans la fumée de tabac endommagent l’ADN des cellules pulmonaires, favorisant le développement de tumeurs malignes. Souvent diagnostiqué à un stade avancé, le cancer du poumon est difficile à traiter et constitue l’une des principales causes de décès liées au cancer.

Infections Respiratoires Récurrentes :
Les fumeurs à long terme sont plus susceptibles de contracter des infections respiratoires fréquentes, telles que la bronchite et la pneumonie. Le tabagisme affaiblit le système immunitaire pulmonaire, rendant les poumons plus vulnérables aux infections.

Perte de Fonction Pulmonaire :
Avec le temps, le tabagisme peut causer des dommages structurels permanents aux poumons. Les alvéoles, petits sacs aériens responsables de l’absorption d’oxygène, peuvent être détruites, entraînant une perte d’élasticité pulmonaire. Cela se traduit par une diminution de la capacité à respirer normalement et à maintenir un niveau d’activité physique satisfaisant.

Il est crucial de comprendre que les conséquences du tabagisme sur les poumons sont graves et peuvent avoir un impact profond sur la qualité de vie. L’arrêt du tabac est la meilleure décision que vous puissiez prendre pour préserver la santé de vos poumons et améliorer votre bien-être général. N’attendez pas pour prendre des mesures positives envers un avenir sans tabac et des poumons en pleine santé.

Les enfants sont en danger à cause du tabac

Les enfants se trouvent en première ligne parmi les plus vulnérables face au tabagisme passif. Leurs poumons en développement sont particulièrement sensibles aux effets nocifs de la fumée de tabac. Les enfants exposés au tabagisme passif ont davantage de risques de développer des infections respiratoires fréquentes telles que la bronchite et la pneumonie. De plus, ils présentent un risque accru de développer des problèmes respiratoires à long terme, comme l’asthme.

L’exposition au tabagisme passif chez les enfants peut également entraîner des retards de croissance pulmonaire, ce qui peut avoir des répercussions tout au long de leur vie. Il est essentiel que les parents et les adultes prennent des mesures pour protéger les enfants en évitant de fumer en leur présence.

Effets nocifs sur les adultes non-fumeurs

Les adultes non-fumeurs exposés au tabagisme passif ne sont pas non plus à l’abri des risques. Ils courent un risque accru de développer des problèmes respiratoires, notamment une réduction de la fonction pulmonaire et un risque plus élevé de développer une BPCO. De plus, le tabagisme passif est associé à un risque accru de cancer du poumon chez les non-fumeurs.

Il est crucial de comprendre que même si vous ne fumez pas vous-même, l’exposition à la fumée secondaire peut avoir des conséquences graves sur votre santé pulmonaire. Il est donc recommandé de créer un environnement sans tabac dans votre maison et de soutenir des politiques de lutte contre le tabagisme dans les espaces publics.

Les bienfaits de l’arrêt du tabac sur les Poumons

Alors que les dommages causés par le tabagisme aux poumons sont indéniables, il est important de noter que les poumons ont une incroyable capacité à se régénérer une fois que l’on choisit de renoncer au tabac. Les bienfaits de l’arrêt du tabac sur la santé pulmonaire sont vastes et significatifs, offrant une lueur d’espoir à ceux qui prennent la décision de dire adieu à cette habitude nocive.

Amélioration de la fonction pulmonaire

L’un des avantages les plus immédiats et remarquables de l’arrêt du tabac est l’amélioration substantielle de la fonction pulmonaire. Dès que l’exposition à la fumée de tabac cesse, les poumons commencent à se rétablir. Les irritations et l’inflammation des voies respiratoires diminuent progressivement. En conséquence, les bronches se détendent, ce qui permet un flux d’air plus fluide et une respiration plus aisée. Les personnes qui cessent de fumer constatent souvent qu’elles peuvent inspirer plus profondément et sans effort excessif, ce qui améliore considérablement leur qualité de vie.

Réduction du risque de maladies pulmonaires

L’arrêt du tabac entraîne une réduction significative du risque de développer des maladies pulmonaires graves. Par exemple, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) progresse moins rapidement chez les non-fumeurs et peut même s’atténuer avec le temps. Le tabagisme étant l’un des principaux facteurs de risque du cancer du poumon, l’arrêt du tabac diminue également considérablement ce risque. Bien que le temps nécessaire pour atteindre un niveau de risque similaire à celui d’un non-fumeur puisse varier en fonction de la durée et de l’intensité de la consommation de tabac, chaque jour sans tabac est un pas vers une santé pulmonaire améliorée.

Regain d’énergie et d’endurance

Un autre avantage indéniable de l’arrêt du tabac est le regain d’énergie et d’endurance. Avec une meilleure fonction pulmonaire, les anciens fumeurs découvrent souvent qu’ils peuvent mener une vie plus active et énergique. Les activités quotidiennes deviennent moins éprouvantes, et la pratique d’une activité physique intense devient possible sans la sensation d’essoufflement qui les accompagnait lorsqu’ils fumaient. Cela contribue à une meilleure qualité de vie globale, favorisant une plus grande participation à des activités sociales, une productivité accrue et un bien-être général.

En somme, les bienfaits de l’arrêt du tabac sur les poumons sont considérables. Chaque effort en vue de cesser de fumer est un investissement dans la santé pulmonaire à long terme.

Pour vos poumons, votre santé et celle des autres : Arrêtez de fumer avec laserOstop Belgique

En mettant un point final à notre exploration des dangers du tabac sur les poumons et des bienfaits d’un sevrage tabagique, nous vous rappelons que votre santé pulmonaire mérite une attention particulière. Chez laserOstop, nous comprenons les défis que représente l’arrêt du tabac, mais nous sommes là pour vous soutenir à chaque étape de ce chemin difficile .

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Le tabagisme et votre enfant : des conséquences directes et indirectes

Le fléau du tabagisme passif

Vous le savez probablement, fumer est néfaste pour les adultes tabagiques ainsi que pour ceux qui inhalent leur fumée. Mais avez-vous déjà réfléchi à l’effet du tabagisme sur les plus petits en particulier ? L’exposition directe ou indirecte à la fumée de cigarette est l’une des plus grandes menaces pour la santé publique à travers le monde. Chaque fois que vous en allumez une, vous vous exposez vous et vos proches, dont vos enfants, aux centaines de produits chimiques issus de la combustion de celle-ci. Et beaucoup d’entre eux sont nocifs pour la santé, pouvant aller jusqu’à provoquer des cancers.

Lorsque vous fumez à côté de vos enfants, vous les exposez directement à cette menace. D’autant plus que la fumée secondaire que vous rejetez et qu’ils inhalent est plus concentrée en substances toxiques. C’est ce que l’on appelle le tabagisme passif. Or, le tabagisme passif chez les enfants, quel que soit leur âge, est la cause de nombreux problèmes de santé.

Pourquoi le tabagisme passif est-il plus dangereux pour les enfants ?

Le tabagisme passif est dangereux pour n’importe quelle personne de votre entourage. Toutefois, les enfants sont plus sensibles à ses conséquences pour plusieurs raisons :

  • Ils absorbent plus de fumée, et donc de substances chimiques, que les adultes, car leur respiration est plus rapide que la leur.
  • Leur système immunitaire est encore immature et a plus de mal à se défendre contre les micro-organismes pathogènes (bactéries, virus, allergènes, etc.) qui profitent de l’irritation des poumons pour s’introduire dans l’organisme.
  • Pour les plus jeunes, ils ingèrent également les résidus de fumée qui se sont déposés sur divers objets lorsqu’ils les portent à la bouche.

Ainsi, les enfants dont les parents fument en leur présence ou sous le même toit sont plus susceptibles de souffrir d’affections respiratoires, mais aussi de divers autres troubles. L’inhalation de la fumée issue de la combustion du tabac peut alors compromettre leur développement.

Les conséquences du tabagisme passif sur la santé

Si beaucoup de personnes sont conscientes des dangers du tabagisme actif sur l’organisme, les problèmes associés au tabagisme passif sont parfois sous-estimés. Les risques du tabac sur les enfants comme sur les adultes sont divers et variés. Parmi eux, on retrouve :

  • Le développement ou l’aggravation de troubles respiratoires : asthme, bronchite, maladies respiratoires chroniques.
  • L’augmentation du risque de troubles cardiovasculaires : les toxines et produits chimiques contenus dans les cigarettes peuvent endommager le système cardiovasculaire et favoriser le développement de maladies telles que l’athérosclérose (durcissement des artères), l’insuffisance cardiaque, etc.
  • L’augmentation du risque de développement d’un cancer du poumon et d’autres cancers : les non-fumeurs exposés régulièrement à la fumée secondaire des fumeurs voient leur risque de développer un cancer des poumons augmenter de 20 à 30 % par rapport aux personnes non exposées. Le tabagisme passif favorise également l’apparition d’autres cancers, notamment au niveau des voies respiratoires hautes.
  • Augmentation et aggravation des allergies : l’exposition au tabac peut causer des irritations au niveau des yeux, du nez et de la gorge. Celle-ci peut être la cause d’éternuements, d’une rhinite, de larmoiements, d’une toux chronique et autres manifestations allergiques.

Les problèmes de santé spécifiques aux enfants victimes du tabagisme passif

Particulièrement vulnérables aux effets nocifs du tabagisme passif, les enfants qui y sont exposés sont plus susceptibles de développer :

  • certaines infections respiratoires : pneumonie, bronchiolite, bronchite, rhinopharyngite, asthme ;
  • des infections ORL, comme l’otite, par exemple ;
  • des allergies cutanées, respiratoires et alimentaires ;
  • du psoriasis ou de l’eczéma ;
  • des troubles de l’apprentissage ;
  • des troubles du comportement.

Chez les bébés, l’exposition à la fumée secondaire rejetée par le fumeur est également associée à un risque plus élevé de mort subite du nourrisson (MSN) durant la première année de vie.

Le cas particulier du tabagisme durant la grossesse et l’allaitement

Le tabagisme pendant la grossesse et l’allaitement présente des risques élevés pour la mère comme pour l’enfant à naître. S’il ne s’agit pas réellement de tabagisme passif, puisque la fumée n’est pas inhalée par le nourrisson, le fait de fumer pendant la grossesse peut avoir des conséquences dramatiques sur le développement du fœtus et la santé du bébé après la naissance. En effet, les substances chimiques inhalées par la mère durant la consommation de tabac passent dans son sang et donc dans celui de l’enfant qu’elle porte.

Les effets du tabac chez la femme enceinte et son bébé sont divers :

  • Augmentation du risque de présenter un faible poids à la naissance, un paramètre qui accroît également le risque de rencontrer des complications de santé et un retard de croissance chez l’enfant.
  • Augmentation du risque d’accoucher prématurément : les bébés prématurés (nés avant 37 semaines de grossesse) sont plus susceptibles d’avoir des problèmes respiratoires, digestifs et neurologiques.
  • Conséquences sur le placenta : risque de décollement prématuré du placenta, augmentation du risque de présenter un placenta prævia qui mettrait en danger la vie de la mère comme du bébé.
  • Augmentation du risque de mort subite du nourrisson (MSN) : tout comme avec le tabagisme passif, le risque de MSN est plus élevé chez les bébés dont la mère a fumé pendant la grossesse.
  • Problèmes cognitifs : les enfants exposés au tabac in utero seraient plus susceptibles de développer des troubles du comportement, de l’attention et de l’apprentissage.
  • Augmentation du risque de fausses couches et de grossesses extra-utérines.
  • Retard de croissance fœtale : le tabagisme peut affecter le développement harmonieux du fœtus.
  • Augmentation des problèmes de santé généraux chez la mère : maladies cardiovasculaires et pulmonaires, allergies et cancers habituellement attribués au tabac sont exacerbés par les changements physiologiques dus à la grossesse.
  • Chez la femme qui allaite, la nicotine passe dans le lait maternel, changeant le goût et la composition de ce dernier. Les autres substances chimiques qui passent également dans le lait provoquent différents soucis chez le nourrisson : coliques et douleurs abdominales, nausées, régurgitations et vomissements, irritabilité, modification du rythme cardiaque.

Ado qui fume : l’influence de l’exemple parental

En tant que parent, vous êtes le premier modèle qui se présente aux yeux de vos enfants. C’est à partir de vos habitudes de vie que son comportement se forme et s’installe. Si votre fils ou votre fille vous voit régulièrement fumer, et ce, même si vous lui dites que ce n’est pas une bonne habitude, il ou elle risque de devenir également fumeur au moment de l’adolescence, l’âge des nouvelles expériences par excellence.

D’autant plus que son accès au tabac est facilité et que sa tolérance à la fumée de cigarette est également plus élevée, du fait de celle déjà inhalée en votre présence. De plus, un ado qui consomme du tabac et dont les parents sont fumeurs risque de cumuler les effets du tabac sur la santé de deux manières : par tabagisme actif en inhalant sa propre fumée et par tabagisme passif, si vous fumez en sa présence.

Et, sans surprise, un ado qui fume est évidemment bien plus susceptible qu’un autre de devenir fumeur à l’âge adulte. Pour cette raison, il est donc crucial d’offrir un environnement sans tabac à vos enfants dès leur plus jeune âge. Et pas seulement en prenant garde à ne fumer qu’à l’extérieur ! Si la dépendance au tabac est déjà bien installée chez votre enfant, sachez qu’il peut, au même titre qu’un adulte, bénéficier d’un accompagnement pour arrêter le tabac, avec votre accord.

Arrêter de fumer pour donner le bon exemple et protéger la santé de votre entourage

Les différentes méthodes pour arrêter de fumer

Si arrêter de fumer est la meilleure solution pour préserver votre santé et celle de vos enfants, se lancer dans un sevrage tabagique doit cependant rester votre décision uniquement. L’arrêt du tabac demande un investissement personnel considérable et vous êtes la seule personne à savoir si c’est le bon moment ou non de s’engager dans cette aventure.

Si vous êtes motivé à débuter un sevrage tabagique, sachez qu’il existe une grande variété de méthodes qui peuvent vous aider à arrêter de fumer plus sereinement :

  • consultations spécialisées dispensées par un médecin tabacologue, un pharmacien ou un psychologue ;
  • utilisation de substituts nicotiniques qui contribuent à compenser l’arrêt brutal de la nicotine durant les premières semaines : patchs nicotiniques à poser sur la peau, gommes à mâcher et pastilles à sucer à la nicotine, inhalateurs et vaporisateurs nasaux contenant de la nicotine, liquides pour cigarette électronique ;
  • prise de médicaments délivrés sur ordonnance médicale : Bupropion (Zyban®), Varénicline (Champix®), par exemple ;
  • thérapies comportementales conçues pour dégager vos propres solutions et stratégies pour résister à l’envie de fumer et remplacer les anciens bénéfices du tabac dans votre vie ;
  • participation à des groupes de parole réunissant d’anciens fumeurs pour trouver un soutien moral et pratique, mais aussi pour partager vos expériences similaires (ou non) ;
  • applications mobiles offrant un accompagnement, des plans de sevrage personnalisés, des encouragements et des conseils pour arrêter de fumer ;
  • médecines douces aux effets plus ou moins documentés : acupuncture, hypnose, homéopathie, réflexologie, etc. ;
  • méditation, yoga, techniques de relaxation aidant à gérer le stress et à réduire l’envie de fumer ;
  • techniques de sevrage tabagique au laser.

La méthode LaserOstop : une solution innovante pour protéger vos enfants

Parmi les méthodes innovantes pour arrêter de fumer, LaserOstop propose une approche qui permet d’agir directement sur la dépendance physique afin de mieux contrôler les envies de fumer. Sans douleur et sans effets secondaires, LaserOstop utilise un laser pour stimuler des points réflexes au niveau du pavillon de l’oreille notamment. Par cette action, les envies de nicotine sont réduites, n’engendrant pas la souffrance habituellement associée au sevrage tabagique. De plus, LaserOstop agit également sur le besoin de grignoter, très fréquent chez les personnes qui arrêtent la cigarette. Ainsi, l’arrêt du tabac n’est pas source de prise de poids.

Le gros plus de cette méthode ? Dispensée par des spécialistes dûment formés, elle est efficace en une seule séance d’une heure seulement ! Et si vous rechutez dans les douze mois (cela peut malheureusement arriver), vous bénéficierez d’une seconde séance gratuite pour repartir sur de bons rails.

Protégez l’avenir de vos enfants : prenez rendez-vous dès aujourd’hui !

L’effet du tabagisme sur les enfants est bien réel et potentiellement grave. Heureusement, il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer et ainsi les protéger des conséquences néfastes du tabac. En choisissant d’en finir avec le tabac le plus tôt possible, vous offrez ainsi à votre enfant un cadeau précieux : un avenir plus sain et un risque réduit de développer lui-même une addiction au tabac. Ne laissez pas le tabagisme compromettre la santé de votre entourage et rejoignez les dizaines de milliers de fumeurs qui ont déjà réussi à en finir avec la cigarette grâce à LaserOstop. Prenez, dès aujourd’hui, un rendez-vous dans un centre spécialisé dans cette méthode pour faire un premier pas vers un avenir sans tabac !

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Pourquoi fumer avant ou après une opération chirurgicale est une mauvaise idée ? https://meksor.shop/fumer-apres-operation-complications-chirurgicales/ Mon, 17 Jul 2023 14:03:50 +0000 https://www.laserostop.com/?p=103639
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Les effets néfastes du tabac en cas d’intervention chirurgicale

Des risques accrus pour les fumeurs

Le tabagisme chronique, à plus forte raison si la dernière cigarette a été fumée récemment, fait courir un risque plus élevé de complications chez le fumeur qui subit une intervention chirurgicale. Et ce, que cela soit pendant ou après celle-ci. En effet, le tabac altère la réponse inflammatoire normale du corps, censée favoriser la guérison, la cicatrisation et la prévention des infections. Parmi les problèmes que l’on rencontre le plus fréquemment chez les fumeurs qui se font opérer, on retrouve :

  • des troubles de la coagulation : saignements plus importants, probabilité d’hémorragie augmentée ou au contraire plus grand risque de faire une thrombose ou une embolie ;
  • de plus grandes chances de développer une infection postopératoire ;
  • des difficultés de cicatrisation des plaies chirurgicales.

Résultat : on constate un taux de réadmission à l’hôpital chez les fumeurs plus important qu’au sein de la population des non-fumeurs.

Le retard de cicatrisation des plaies

Les nombreuses substances toxiques présentes dans la fumée de cigarette ont un impact direct sur la circulation sanguine. Les tissus bénéficient alors d’un apport plus faible en oxygène que ce qu’ils devraient recevoir, ce qui engendre un retard de cicatrisation des incisions pratiquées au cours de l’intervention chirurgicale. Parallèlement, le tabac nuit à la régénération cellulaire des tissus cutanés. Il impacte notamment la production de collagène, une protéine essentielle pour la réparation des tissus, puisque c’est elle qui leur permet d’avoir une bonne résistance.

Un plus grand risque d’infections postopératoires

Les études démontrent que le tabagisme a un effet néfaste sur le système immunitaire. Déjà affaibli par l’intervention chirurgicale elle-même et éventuellement par les causes qui l’ont rendu nécessaire, l’organisme se trouve particulièrement vulnérable aux infections en période post-opératoire. Et si l’immunité est défaillante, les bactéries, virus et autres agents pathogènes ont plus de facilité à proliférer et engendrer des troubles. Le fumeur plus exposé à ce risque du fait de sa consommation de tabac est alors plus sensible aux infections, qu’elles touchent le site opératoire ou une autre zone du corps.

Augmentation du risque de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire

Quel que soit le statut tabagique de la personne opérée, une intervention chirurgicale est toujours potentiellement source de complications thromboemboliques. C’est-à-dire de troubles touchant la circulation du sang. Or, chez le fumeur, la circulation sanguine est lourdement influencée par la consommation de tabac.

En cas de tabagisme, le sang circule moins rapidement, ce qui provoque une stagnation du sang dans les veines favorable à la formation de caillots sanguins. Lorsque ces derniers se logent dans les veines profondes, ils peuvent entraîner une phlébite ou bien migrer vers les poumons où ils seront responsables d’une embolie pulmonaire. Dans les cas les plus sévères, ils peuvent engendrer un infarctus, s’ils transitent vers le cœur, ou encore un accident vasculaire cérébral (AVC), s’ils se logent dans le cerveau. Il faut être particulièrement vigilant face à ces phénomènes graves, voire parfois mortels.

L’influence du tabagisme sur le système respiratoire

En plus du risque infectieux accru après une intervention chirurgicale, le système respiratoire est lui aussi mis à mal. En effet, lors d’une anesthésie générale, la personne est intubée afin d’être ventilée mécaniquement pour maintenir l’apport d’oxygène au cerveau et aux organes. Si cette technique est parfaitement maîtrisée, elle reste cependant traumatisante pour les voies respiratoires.

Or, les fumeurs sont plus susceptibles que les non-fumeurs de présenter des complications pulmonaires. Irritant et déposant de nombreuses substances chimiques au sein des alvéoles des poumons, le tabac altère l’efficacité de la respiration naturelle. La personne qui fume qui se fait opérer affiche donc un risque plus important de développer :

  • une détresse respiratoire ;
  • une bronchite ;
  • une pneumonie postopératoire ;
  • un asthme aggravé.

Arrêter de fumer avant une opération : un bon réflexe pour votre santé

Réduction des complications chirurgicales

En arrêtant de fumer avant l’opération, vous réduisez considérablement le risque de connaître ou d’aggraver des complications chirurgicales. Si vous vous y prenez suffisamment tôt, votre immunité, votre circulation sanguine et votre capacité de cicatrisation redeviendront équivalentes à celles d’un non-fumeur pour le jour J. Votre récupération n’en sera que meilleure et, bien sûr, plus rapide.

Ainsi, vous réduisez votre risque de subir des complications pulmonaires telles que la bronchite ou une embolie. Vous diminuez également les probabilités de faire un accident thromboembolique ou de développer une infection post-opératoire qui pourrait rallonger la durée d’hospitalisation et le temps pour vous remettre de l’intervention.

Diminution des risques liés à l’anesthésie

Certains risques lors d’une chirurgie sont liés à la façon dont l’organisme réagit à l’anesthésie. Certains fumeurs ont parfois besoin de doses d’anesthésiques plus importantes pour être endormis. Les complications sont alors en lien avec ces quantités plus élevées et le temps de récupération après l’intervention est également plus long. En arrêtant de fumer, vous améliorez la sensibilité de votre corps à l’anesthésie, ce qui évite les surdosages inutiles.

Réduction du stress lié à la privation de tabac

Que vous décidiez d’arrêter de fumer en prévision de l’opération ou que vous mainteniez votre consommation de tabac, l’équipe médicale qui vous prend en charge vous interdira formellement de fumer avant l’anesthésie générale. Il est d’ailleurs déconseillé de le faire, d’un point de vue global, dans les heures qui précèdent l’intervention chirurgicale. Cette interdiction souvent difficile à vivre pour le fumeur ajoute encore un peu plus de stress à une situation dans laquelle vous risquez déjà de vous inquiéter bien assez. En choisissant vous-même d’arrêter de fumer avant l’opération, vous supprimez également ce désagrément.

Les autres avantages pour la santé

Quoi qu’il en soit, en dehors de tout contexte de chirurgie, arrêter de fumer est toujours source de bénéfices pour votre santé. Cela permet de :

  • réduire le risque de troubles cardiovasculaires ;
  • améliorer la circulation sanguine ;
  • restaurer l’efficacité du système respiratoire ;
  • diminuer le risque de cancer ;
  • retrouver une belle peau et des cheveux en bonne santé ;
  • rétablir votre sens du goût et de l’odorat ;
  • avoir une meilleure santé bucco-dentaire (elle aussi importante en cas d’intervention chirurgicale) ;
  • protéger votre entourage des méfaits du tabagisme passif.

Fumer après une opération est également déconseillé !

Vous l’aurez probablement compris, fumer après une opération n’est pas non plus une bonne idée si l’on souhaite cicatriser et récupérer rapidement. Que cela soit avant ou après l’intervention (et même pendant !), le tabagisme a pour effet de réduire l’apport d’oxygène et de nutriments essentiels aux tissus. Durant la phase de récupération post-opératoire cet apport est primordial pour favoriser la cicatrisation des plaies. En somme, continuer de consommer du tabac pendant la période post-opératoire risque de retarder considérablement votre guérison par rapport à celle d’un non-fumeur.

Parallèlement, l’augmentation des complications liées à l’intervention chirurgicale perdure dans les jours et les semaines qui suivent celle-ci. Maintenir votre consommation de cigarettes vous fait courir de plus grands risques de :

  • développer des infections ;
  • présenter des troubles respiratoires ;
  • faire une embolie pulmonaire ou une phlébite ;
  • saigner de façon excessive ;
  • connaître des anomalies de cicatrisation des plaies chirurgicales ;
  • rester hospitalisé plus longtemps que la moyenne.

Il est donc essentiel, si vous y parvenez, de vous abstenir de fumer avant et après l’opération. Si cela vous semble compliqué, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel de santé ou à vous reposer sur des méthodes de sevrage tabagiques éprouvées.

Réaliser un sevrage tabagique avant de subir une intervention chirurgicale

Établissez un plan de sevrage tabagique

Si à l’approche d’une intervention chirurgicale vous souhaitez arrêter de fumer :

  • Consultez votre médecin traitant ou un addictologue pour évaluer votre état de santé et étudier les solutions de sevrage tabagique disponibles.
  • Fixez une date d’arrêt précise, si possible plusieurs semaines voire plusieurs mois avant l’opération pour laisser le temps à votre organisme de s’acclimater à sa nouvelle vie sans tabac.
  • Identifiez les situations qui déclenchent les envies de fumer afin d’essayer de les anticiper voire de les éviter quand vous le pouvez.
  • Établissez de nouvelles routines quotidiennes afin de « casser » vos anciennes habitudes de fumeur.
  • Tournez-vous vers des solutions de gestion du stress et de la frustration : exercice physique, méditation, relaxation, yoga.
  • N’hésitez pas à demander du soutien à votre entourage ou à participer à des groupes de parole avec d’anciens fumeurs.
  • Profitez-en pour adopter un mode de vie sain et une alimentation équilibrée.
  • Prenez du repos et adoptez de bonnes habitudes de sommeil.

Les options possibles pour arrêter de fumer

Pour arrêter de fumer, plusieurs approches s’offrent à vous :

  • utilisation de substituts nicotiniques : gommes, patchs, comprimés ;
  • prise de médicaments sur prescription médicale : Bupropion, Varénicline ;
  • accompagnement par des professionnels de la santé : médecin addictologue, psychologue, pharmacien, etc. ;
  • thérapies comportementales, soutien psychologique ;
  • médecines douces : acupuncture, hypnose, réflexologie, etc. ;
  • sevrage tabagique par laser.

Le sevrage tabagique avec laserOstop

Le sevrage tabagique avec laserOstop est une approche non médicamenteuse qui vise à réduire les symptômes de sevrage et les envies de fumer en utilisant un faisceau laser doux pour stimuler certains points spécifiques du corps. LaserOstop se concentre sur les points réflexes situés sur le pavillon de l’oreille.

À ce titre, il reprend les principes de l’acupuncture. Cette stimulation a pour effet de diminuer les symptômes de sevrage en agissant directement sur la dépendance physique à la nicotine. Ainsi, elle contribue à amoindrir les envies de fumer et à soulager les sensations de manque. Et tout cela de façon totalement indolore et sans engendrer de prise de poids comme c’est parfois le cas avec d’autres méthodes.

Le sevrage tabagique avec laserOstop se fait généralement en une seule séance d’une heure. Le thérapeute applique le faisceau laser sur les points spécifiques du corps, selon un protocole précis. Celui-ci agira à la fois sur l’envie de fumer, mais aussi sur les pulsions de grignotage. Et en cas de rechute dans les douze mois qui suivent la première séance, vous aurez droit à une seconde séance gratuite.

Dispensée dans les centres spécialisés laserOstop, la méthode laserOstop peut être utilisée seule ou comme approche complémentaire de la prise en charge médicale du sevrage tabagique. Ultra-efficace, elle a déjà aidé des dizaines de milliers de fumeurs à dire définitivement NON à la cigarette. Prenez rendez-vous dès aujourd’hui dans l’un des nombreux centres laserOstop pour arrêter de fumer en vue d’une intervention chirurgicale !

Le tabac et la chirurgie en résumé

Si vous êtes fumeur et que vous devez subir une intervention chirurgicale, gardez en tête que :

  • Le tabac augmente le risque de complications potentiellement graves, voire mortelles, après une opération.
  • Le sevrage tabagique améliore et accélère la récupération dans la période post-opératoire.
  • La cicatrisation des plaies est plus efficace en l’absence de consommation de tabac.
  • De nombreuses méthodes s’offrent à vous pour arrêter de fumer avant une opération.
  • Le moment est peut-être venu pour vous de rejoindre la communauté des non-fumeurs !
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Journée mondiale sans tabac 2023 avec laserOstop https://meksor.shop/journee-mondiale-sans-tabac-2023-laserostop/ Sat, 20 May 2023 10:26:47 +0000 https://www.laserostop.com/omnizer/?p=93785
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La Journée mondiale sans tabac, pour une vie sans fumée

Comme chaque année, le 31 mai, la Journée Mondiale Sans Tabac 2023 rassemble des initiatives partout dans le monde pour sensibiliser le public aux dangers du tabagisme et encourager les fumeurs à arrêter de fumer. Cet évènement offre une occasion unique de s’interroger sur sa propre consommation de tabac en mettant en lumière ses effets néfastes sur la santé. Pour de nombreux fumeurs, elle peut donner le coup de pouce nécessaire pour s’engager dans un sevrage tabagique et enfin se libérer de l’addiction à la cigarette.

Les origines de la Journée Mondiale Sans Tabac

La création de cet évènement

Célébrée chaque année dans de nombreux pays à travers le monde, la Journée Mondiale Sans Tabac a été créée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Elle a pris place pour la première fois le 7 avril 1987, puis a eu lieu chaque année, le 31 mai, à partir de 1988.

Les raisons de sa création

L’objectif principal de cette journée est d’attirer l’attention de chacun sur les effets dévastateurs du tabagisme en matière de santé. L’idée est d’inciter les fumeurs à cesser leur consommation, mais aussi les autorités publiques à mettre en place des mesures pour réduire la prévalence du tabagisme dans notre société. Et s’il est si important d’engager des actions dans ce sens, c’est parce que le tabac tue chaque année 5 millions de fumeurs du fait de son impact sur toutes les cellules de l’organisme.

Les activités de la Journée Mondiale Sans Tabac

Un nouveau thème chaque année

Chaque année, l’OMS choisit un thème spécifique autour duquel s’articule la Journée Mondiale Sans Tabac. Celui-ci permet d’aborder des aspects bien précis en lien avec le tabagisme et la santé. Et la nature de ce thème évolue en même temps que notre société. Le premier thème fixé en 1988 était « Grandir sans tabac ». En 2022, il s’agissait de « Le tabac : une menace pour notre environnement », tandis qu’en 2023, la journée tournera autour du sujet « Cultivons des aliments, pas du tabac ».

Les évènements de la Journée Sans Tabac

Tous les 31 mai, des évènements sont organisés partout dans le monde pour informer le grand public au sujet des méfaits du tabac, que cela soit pour le fumeur lui-même ou pour son entourage exposé au tabagisme passif. Chaque action vise à mettre en évidence ce problème, mais aussi l’impact économique, social et environnemental négatif de la dépendance au tabac. Il peut s’agir de conférences, de campagnes de sensibilisation, de groupes de parole dans les écoles et les lieux de travail, d’expositions, d’interventions dans des lieux publics, etc.

Ces différentes manifestations sont généralement gérées par des professionnels de santé ayant à cœur de promouvoir l’arrêt du tabac : centres anti-tabac, médecins tabacologues, soignants d’addictologie, etc. Elles peuvent aussi être portées par d’anciens fumeurs désireux de sensibiliser la population à leur tour. Elles mettent l’accent sur les avantages de l’arrêt du tabac, les ressources disponibles pour y parvenir, les risques du tabagisme pour la santé ou encore les stratégies de prévention efficaces pour réduire la consommation de tabac avant même qu’elle débute.

Pour cette occasion, certains centres laserOstop vous font bénéficier d’une remise exceptionnelle dans un temps limité. Pour en savoir plus ces offres, consultez le centre anti tabac laserOstop le plus proche de chez vous.

Une journée qui compte vraiment

De façon symbolique, les autorités de santé du monde entier profitent souvent de cette journée pour annoncer de nouvelles initiatives en termes de prévention du tabagisme. Les mesures envisagées peuvent inclure l’augmentation des taxes appliquées sur les produits contenant du tabac, la mise en place de l’interdiction de fumer dans des espaces publics, le lancement de programmes d’aide à l’arrêt du tabac, etc..

Choisir d’arrêter de fumer, c’est important toute l’année !

Il n’y a bien évidemment pas que le 31 mai qu’il est important de prendre conscience des bénéfices que représente l’arrêt du tabac pour la santé. Se lancer dans un sevrage tabagique est une décision essentielle pour protéger votre organisme contre les méfaits de la nicotine et des substances présentes dans la fumée de cigarette !

À l’heure actuelle, le tabagisme est l’une des principales causes de décès qui pourraient être évitées au niveau mondial. La consommation de tabac est à l’origine de multiples problèmes de santé graves. On peut par exemple citer le tristement célèbre cancer du poumon, mais aussi divers autres cancers. Le tabac est également impliqué dans le développement de diverses maladies cardiovasculaires ou de maladies respiratoires chroniques (asthme, bronchopneumopathie obstructive, emphysème). C’est aussi un facteur favorisant majeur des accidents vasculaires cérébraux (AVC) qui peuvent laisser de graves séquelles sur le plan cérébral et locomoteur.

De plus, le tabagisme n’est pas seulement dangereux pour le fumeur, mais aussi pour son entourage proche exposé à la fumée secondaire qu’il rejette à chaque bouffée de cigarette. Il a été prouvé que celle-ci, lorsqu’elle est inhalée par un non-fumeur, peut causer des problèmes de santé graves chez ce dernier. Et c’est encore plus vrai au sein des populations vulnérables comme les enfants, les personnes âgées ou les malades au long cours.

En finir avec le tabac : des avantages sur tous les plans

Arrêter de fumer présente de nombreux avantages pour la santé, mais pas seulement. C’est aussi bon pour votre porte-monnaie et vos relations sociales et familiales.

Les bénéfices pour la santé

Les fumeurs qui réussissent à arrêter de fumer bénéficient des effets positifs du sevrage assez rapidement. Leurs poumons commencent à se réparer, leur système cardiovasculaire retrouve peu à peu son efficacité et leur moral est également meilleur. Parmi les nombreux avantages qu’offrent l’arrêt du tabac, on peut citer :

  • l’amélioration de la santé pulmonaire : respiration plus facile, risque de développer des maladies pulmonaires moins élevé, disparition de la « toux du fumeur » ;
  • la réduction du risque de cancer du poumon, de la gorge, de la bouche, de l’œsophage, du pancréas, de la vessie, des reins ou encore du col de l’utérus ;
  • la prévention des maladies cardiovasculaires : crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, hypertension artérielle, athérosclérose, etc. ;
  • l’amélioration de la santé bucco-dentaire : haleine plus fraîche, dents moins jaunes, diminution de la gingivite, etc. ;
  • l’embellissement de la peau, des cheveux et des ongles dont l’état général et l’éclat peuvent être fortement altérés par la consommation de tabac ;
  • meilleur moral : réduction du stress et de l’anxiété, diminution du risque de faire une dépression, etc. ;
  • l’augmentation de l’espérance de vie en général : un non-fumeur vit en moyenne 10 à 15 ans de plus qu’un fumeur régulier.

Des économies considérables

Si vous êtes fumeur, vous en êtes très probablement conscient : le tabac coûte extrêmement cher ! En arrêtant de fumer, vous réalisez de grosses économies chaque mois, ce qui vous permet de récupérer du pouvoir d’achat. Et pour vous motiver à stopper la consommation de tabac, pourquoi ne pas choisir de réinvestir la somme ainsi gagnée dans des choses qui vous font plaisir ? Par exemple, dans un voyage, l’achat d’une nouvelle voiture ou des sorties en famille.

Une meilleure qualité de vie

Libéré de l’addiction à la nicotine et à la cigarette en général, vous gagnez une meilleure qualité de vie. Vous vous sentez plus en forme et souvent plus heureux. Vous retrouvez un sens du goût et de l’odorat plus affiné. Vos finances s’améliorent. Mieux encore, vous n’exposez plus vos proches non-fumeurs à la fumée de votre cigarette. Et il y a fort à parier qu’ils vous en remercieront !

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Comment arrêter de fumer ?

S’engager dans un sevrage tabagique, c’est avant tout une question de motivation

Si vous êtes fumeur et que vous envisagez d’arrêter, la Journée Mondiale Sans Tabac peut être l’occasion parfaite pour vous engager dans cette voie. Vous rejoindrez à coup sûr de multiples personnes qui ont pris la même décision que vous partout dans le monde. Pour autant, il convient de bien préparer le terrain et d’affermir votre motivation, car c’est elle qui va vous permettre de ne pas rechuter. Pour cela :

  • Choisissez une date à laquelle vous vous engagez fermement à arrêter de fumer.
  • Informez vos proches de votre décision et n’hésitez pas à leur demander du soutien durant cette période.
  • Essayez d’identifier les situations qui vous donnent le plus envie de fumer de façon à pouvoir anticiper celles qui risquent d’être problématiques.
  • Trouvez une ou plusieurs activités qui vous aideront à faire face aux envies, mais aussi à retrouver un maximum de bien-être : exercice physique, méditation, relaxation, loisirs créatifs, etc..

N’oubliez jamais que l’arrêt du tabac est un processus personnel dont l’évolution varie d’une personne à l’autre. Vous rencontrerez peut-être des hauts et des bas. C’est tout à fait normal ! Mais, restez toujours conscient qu’en maintenant votre motivation, vous parviendrez forcément à en finir avec la cigarette. Et si cela ne marche pas cette fois-ci, ce n’est pas un échec pour autant. Vous aurez probablement appris quelque chose sur votre fonctionnement et serez ainsi mieux armé pour un prochain essai !

Les différentes méthodes de sevrage tabagique

Il existe de nombreuses méthodes qui permettent d’arrêter de fumer. Certaines sont éprouvées depuis longtemps et offrent des résultats plus ou moins efficaces selon les personnes. D’autres sont plus récentes, mais présentent des taux de réussite très intéressants. Le principal est de trouver la technique qui marche pour vous. Selon votre personnalité, vous préférerez peut-être vous arrêter d’un coup ou au contraire en réduisant progressivement le nombre de cigarettes que vous fumez chaque jour. C’est à vous de choisir !

Parmi les méthodes qui existent pour accompagner le sevrage tabagique, il y a par exemple :

  • l’utilisation de substituts nicotiniques (patchs, gommes à mâcher, inhalateurs, liquides pour e-cigarette) ;
  • le soutien médical : prescription de médicaments contribuant à faciliter l’arrêt du tabac, suivi psychologique adapté, consultation avec un tabacologue, etc. ;
  • la participation à un programme d’arrêt du tabac, par exemple, dans un Centre de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) ;
  • le recours à des médecines douces qui souffrent parfois d’une mauvaise image auprès de la population : hypnose, acupuncture, réflexologie, etc. ;
  • le sevrage tabagique au laser qui donne d’excellents résultats.

La méthode de sevrage tabagique au laser laserOstop®

LaserOstop® est une méthode hautement efficace pour cesser définitivement de fumer grâce à la stimulation par laser. Contrairement à d’autres lasers anti-tabac qui utilisent l’électrostimulation, laserOstop® emploie la photobiomodulation. Cette technique révolutionnaire, pratiquée dans les centres spécialisés en sevrage tabagique laserOstop®, permet d’arrêter de fumer en une seule séance !

LaserOstop® permet d’arrêter de fumer sans risque pour la santé. Son utilisation n’engendre ni souffrance physique, ni mal-être, ni irritabilité, ni troubles du sommeil. Mieux encore, elle ne provoque pas de prise de poids ! La stimulation de points spécifiques agit sur les récepteurs du système nerveux responsables de l’addiction à la nicotine. Elle permet ainsi de réduire, voire d’éliminer les envies de consommer du tabac. Le taux de réussite est très élevé, en effet, la plupart des personnes sont toujours abstinentes un an après y avoir eu recours.

Rien qu’en 2020, 14 000 fumeurs ont arrêté la cigarette grâce à laserOstop®. Depuis 2021, ce sont plus de 300 000 sevrages tabagiques au laser qui ont été opérés dans nos centres spécialisés. Les avis des clients qui ont testé ce procédé accordent en moyenne une note de 4,8/5 à ces derniers ! Et pour vous prouver le sérieux de cette technique, laserOstop® propose même une prise en charge gratuite et illimité en cas de rechute. Cette garantie s’applique durant les 12 mois qui suivent la séance initiale.

En prenant l’engagement de vous libérer de la dépendance à la nicotine, vous choisissez d’améliorer votre santé comme votre qualité de vie. Chaque jour qui passe vous offre une nouvelle opportunité de démarrer une vie sans cigarette. Alors, pourquoi ne pas saisir celle-ci à l’occasion de la Journée Mondiale Sans Tabac ? Contactez-nous pour prendre rendez-vous dans le centre spécialisé en sevrage tabagique au laser laserOstop® le plus proche de chez vous !

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Femme enceinte qui fume : attention danger ! https://meksor.shop/femme-enceinte-qui-fume-danger-pour-bebe/ Tue, 28 Mar 2023 13:20:24 +0000 https://www.laserostop.com/?p=88790
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Femmes enceintes qui fument : attention au danger pour bébé !

Ce n’est pas une information révolutionnaire, fumer exerce des effets néfastes sur la santé, tant pour la personne qui fume que pour son entourage. Dans le cas d’une grossesse, c’est encore plus vrai ! Les femmes enceintes qui fument exposent leur organisme aux produits toxiques présents dans leurs cigarettes, mais aussi le fœtus qu’elles portent. Et même si elles « crapotent », la fumée secondaire qu’elles rejettent et respirent inévitablement est également dangereuse pour le bébé à naître. Cet article répond aux questions courantes des femmes enceintes qui souhaitent en savoir plus sur les dangers du tabac pour leur enfant, celles qui veulent arrêter de fumer pendant la grossesse ainsi que celles qui ont accouché et ont encore des interrogations à ce sujet.

Est-ce que je peux continuer de fumer pendant ma grossesse ?

Il est évident que pour une femme enceinte qui fume, elle se doit d’arrêter complètement de fumer dès le moment où elle apprend qu’elle porte un enfant. Si vous êtes enceinte et dépendante au tabac, il est important d’en parler à votre médecin dès que possible pour trouver des solutions.

Une femme qui fume enceinte, inhale une foule de poisons

La combustion du tabac entraîne la formation d’une fumée qui renferme des centaines de composés toxiques, dont des poisons connus comme l’arsenic, par exemple. Ces produits chimiques peuvent passer à travers le placenta et affecter la croissance et le développement du bébé. La présence de nicotine, le principe actif en grande partie à l’origine de la dépendance au tabac est, elle aussi, dangereuse pour le fœtus, qui peut même naître « en manque » si la consommation de tabac a perduré jusqu’à l’accouchement.

Quels sont les effets du tabac sur le fœtus ?

Exposant le bébé à naître à de nombreuses substances nocives, notamment au dioxyde de carbone qui réduit son oxygénation, une femme enceinte qui fume voit le risque de complications graves augmenté. Ainsi, il n’est pas rare que l’intoxication tabagique provoque une fausse couche pour une femme enceinte qui fume, une grossesse extra-utérine ou une naissance prématurée, parfois bien avant le moment où le bébé est suffisamment formé pour survivre.

Dans les cas où la grossesse est menée à son terme, il est aussi fréquent que l’enfant présente un faible poids de naissance, un facteur favorisant les troubles de santé durant ses premiers mois de vie. Les études montrent que les bébés de femmes qui fument pendant leur grossesse souffrent plus souvent de malformations congénitales et de dommages au cerveau ainsi qu’aux poumons.

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Après la naissance, le risque continue…

L’intoxication tabagique de l’enfant durant la grossesse est également liée à un risque plus élevé de développement de troubles du comportement, de difficultés d’apprentissage et de problèmes de santé mentale à long terme. Des études ont aussi démontré que les bébés nés de femmes qui ont maintenu leur consommation de tabac pendant leur grossesse sont plus souvent touchés par la mort subite du nourrisson. Ils sont également plus fréquemment victimes d’asthme, d’otites et de pneumopathies (bronchite, pneumonie, etc.).

Je n'arrive pas à arrêter de fumer : comment réduire les effets négatifs pour mon bébé ?

Il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer

Les effets néfastes du tabac chez la femme enceinte qui fume ont des répercussions à tous les stades de la grossesse. Bien sûr, plus vous avez la capacité de cesser toute consommation de tabac de bonne heure, plus les risques encourus par le fœtus diminuent. Mais, si vous avez du mal à arrêter de fumer, sachez qu’il n’est jamais trop tard pour le faire. Si vous n’en êtes qu’à votre premier trimestre de grossesse, vous avez encore de nombreux mois pour y parvenir. Gardez cependant en tête que plus l’exposition du fœtus au tabac est longue, plus il peut en souffrir.

Diminuer le nombre de cigarettes ne suffit pas, mais peut réduire la casse

Plus une femme enceinte fume, plus les risques qu’elle fait courir à son bébé sont importants. Toutefois, consommer moins de cigarettes permet d’abaisser la quantité de produits toxiques en circulation dans le sang. Il est donc préférable de ne fumer que quelques cigarettes par jour plutôt qu’un paquet complet. Des études ont montré que consommer moins de 5 cigarettes par jour aide à réduire le risque de faible poids de naissance, mais ne l’annule pas pour autant.

Une femme enceinte doit éviter d'inhaler la fumée secondaire​

La fumée de cigarette est doublement dangereuse pour la santé. La fumée primaire, celle qui est directement inhalée par la femme enceinte qui fume, contient une foule de composants toxiques. De son côté, la fumée secondaire, celle qui est rejetée par le fumeur, renferme une plus forte concentration de ces produits chimiques qui n’ont pas été absorbés. De plus, elle est chargée du dioxyde de carbone produit par les poumons au moment de l’expiration.

Pour réduire les risques si vous ne pouvez pas arrêter de fumer, il est donc important de le faire dans des espaces aérés ou en extérieur. Évitez de fumer dans une pièce fermée ou dans une voiture, par exemple. C’est aussi à cause de cette fumée secondaire que le fait de crapoter, c’est-à-dire de rejeter la fumée avant qu’elle entre dans les poumons, ne présente pas d’intérêt pour préserver la santé du fœtus.

Consommer des antioxydants et vitamines prénatales

Les effets de la cigarette sur la santé maternelle contribuent à réduire l’apport en nutriments du fœtus, à diminuer son oxygénation et à engendrer un stress oxydatif qui perturbe la santé de ses cellules. Pour essayer de contrebalancer ces phénomènes, vous pouvez augmenter votre consommation de vitamine C aux puissants effets antioxydants. Il est également utile de prendre des vitamines prénatales qui apporteront des nutriments essentiels au bon développement du bébé.

J'aimerais arrêter de fumer pour protéger mon bébé, comment faire ?

Dans l’idéal, il faudrait entamer le sevrage tabagique avant même d’être enceinte, d’autant plus que cela facilite la fécondation. Cependant, si vous portez déjà un enfant et que vous voulez arrêter de fumer, c’est tout à fait possible.

Misez sur votre entourage !

Le soutien moral est primordial pour la réussite d’un sevrage tabagique, à plus forte raison dans la période délicate de la grossesse qui a tendance à rimer avec tempête émotionnelle. Expliquez votre démarche à votre conjoint, vos enfants, vos amis, votre famille, de façon à ce qu’ils vous accompagnent et vous soutiennent tout au long du processus. Il n’est jamais bon de se sentir seule quand on essaie d’arrêter de fumer, encore moins lorsqu’on est enceinte.

Définissez un plan d'action clair

Pour faciliter la réussite du sevrage, il est utile d’avoir un plan d’action sur mesure. Pour vous aider à l’établir, n’hésitez pas à consulter des professionnels de santé : votre pharmacien, votre gynécologue, votre médecin traitant, un médecin addictologue, etc. Fixez une date d’arrêt ferme et notez tous les moyens à votre disposition pour résister à l’envie irrépressible d’en « griller une ».

Dans cette période charnière, il est intéressant de prévoir des activités bien-être pour remplacer les habitudes liées au tabagisme tout en vous chouchoutant. Vous pouvez, par exemple, prendre du temps pour vous ou vous lancer dans la méditation. Si votre conjoint fume également, peut-être que c’est le moment pour lui aussi d’arrêter. Enfin, anticipez et essayez d’éviter les situations à risques qui peuvent susciter une envie très forte de consommer du tabac.

Faites le point sur les bénéfices de l'arrêt

Pour maintenir votre motivation, il est crucial de vous concentrer sur les raisons qui vous poussent à arrêter de fumer :

  • limiter les risques de complications graves pour vous comme pour l’enfant
  • augmenter votre confort durant la grossesse
  • gagner en souffle et moins tousser
  • retrouver une belle peau, une bonne haleine, des dents plus blanches
  • récupérer du pouvoir d’achat pour acheter de plus belles choses à bébé
  • avoir plus de chances de voir grandir votre enfant

Utilisez des produits de substitution au tabac seulement en dernier recours

Les substituts nicotiniques tels que les gommes, les patchs, les pastilles ou les inhalateurs permettent de compenser le manque de nicotine lors de l’arrêt du tabac. Cependant, ils continuent d’exposer le bébé à cette substance qui affecte le développement de ses tissus cérébraux et pulmonaires. Il vaut donc mieux éviter leur utilisation et avoir recours à des techniques de médecine douce, non invasives et sans produits chimiques, comme le sevrage tabagique au laser.

Le vapotage est-il sans danger pendant la grossesse ?

Le vapotage implique l’utilisation de cigarettes électroniques qui produisent de la fumée en chauffant un liquide de synthèse. Dans le cadre d’une grossesse, cela pose deux problèmes. D’une part, les cartouches pour cigarettes électroniques renferment une foule de composés chimiques, notamment de la nicotine dangereuse pour la santé du fœtus. Mais, en plus, on ne sait pas exactement comment ces substances réagissent lorsqu’elles sont fortement chauffées, notamment les arômes artificiels. Concrètement, cela signifie que les e-liquides contiennent des produits toxiques et donc nocifs pour le fœtus. Pour cette raison, il est préférable que les femmes enceintes s’abstiennent de vapoter pendant la grossesse.

La fumée des autres est-elle nocive pour mon bébé ?

La fumée secondaire des consommateurs de tabac est toujours néfaste pour les bébés, les enfants et bien sûr le fœtus que vous portez. Et ce, qu’il s’agisse de votre propre fumée secondaire ou de celle des personnes avec qui vous passez du temps. Comme toujours, moins l’exposition est longue, moins elle aura de répercussions sur la santé. Il est cependant préférable d’éviter au maximum les zones où les gens fument et de demander aux personnes qui vous rendent visite ou chez qui vous allez de ne pas fumer près de vous.

Les dangers du tabagisme après la grossesse : mieux vaut éviter la reprise du tabac

Le tabagisme passif du bébé qui vient de naître peut avoir des effets néfastes pour sa santé comme pour celle de votre entourage. Les enfants de fumeurs sont plus susceptibles de souffrir de différentes affections, notamment d’otites, d’asthme et d’infections respiratoires. Comme avec l’exposition au tabac durant la grossesse, les bébés qui inhalent la fumée secondaire de leurs parents ont plus de risque d’être victimes d’une mort subite du nourrisson. Il est donc important de ne pas reprendre le tabac après l’accouchement ou, du moins, de ne pas fumer dans les zones où bébé est présent.

Le tabac durant la grossesse, en résumé…

Pour de multiples raisons, l’exposition du fœtus au tabac est dangereuse pour sa santé. En résumé, une femme enceinte qui fume ou inhale la fumée secondaire d’un fumeur :

  • expose votre enfant à de nombreuses substances toxiques
  • augmente le risque de fausse couche et naissance prématurée
  • favorise la mort subite du nourrisson et le développement de diverses affections

Cependant, pour une femme enceinte qui fume, il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer ou réduire le tabac :

  • même une petite réduction du nombre de cigarettes peut avoir des effets bénéfiques
  • les risques pour la santé du fœtus diminuent dès les premières heures qui suivent l’arrêt
  • votre santé sera meilleure et vous aurez donc plus de facilité à bien vivre votre grossesse

Femme enceinte qui fume : laserOstop vous aide à arrêter de fumer

Si vous souhaitez arrêter de fumer durant votre grossesse n’oubliez pas de :

  • définir un plan d’action clair
  • demander du soutien à vos proches
  • bannir si possible les e-cigarettes et produits de substitution à base de nicotine
  • recourir à des techniques de sevrage douces en accord avec votre gynécologue-obstétricien (la méthode laserOstop n’est pas recommandée après le 8ème mois de grossesse)

Et même après la naissance, il est important de maintenir un environnement sans fumée pour protéger la santé de votre bébé

Vous êtes enceinte et vous avez envie d'arrêter de fumer ?

Pourquoi ne pas tester la méthode laserOstop avec l’accord de votre médecin traitant ou de votre gynécologue-obstétricien ? Sans douleur et sans effet secondaire, elle a déjà permis à des milliers de fumeurs d’en finir définitivement avec la cigarette en une seule séance ! Alors pourquoi pas vous ? Parlez-en à votre médecin sans plus attendre et prenez rendez-vous dans le centre laseOstop le plus proche de chez vous.

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Tabagisme passif : des risques élevés pour la santé des non-fumeurs https://meksor.shop/tabagisme-passif-risque-sante-adulte-et-enfant/ Tue, 14 Feb 2023 17:28:12 +0000 https://www.laserostop.com/?p=87765
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Aujourd’hui encore et malgré une sensibilisation importante de la population, le tabagisme passif est un problème de santé publique qui touche des millions de personnes. À l’origine de soucis de santé graves, chez les jeunes enfants comme chez les adultes, il est particulièrement dangereux lorsqu’il a lieu dans un espace clos, comme une voiture ou un logement mal ventilé. De nombreux pays dans le monde, notamment la Belgique, ont adopté des lois qui interdisent de fumer dans les lieux publics, sur le lieu de travail ou dans les transports en commun. Mais pour préserver la santé de chacun, celle du fumeur comme celle de son entourage, le mieux est de tout mettre en œuvre pour arrêter de fumer.

Qu'est-ce que le tabagisme passif ?

Une intoxication tabagique involontaire, mais bien réelle

Le tabagisme passif est un phénomène qui se produit quand une personne, qu’elle soit fumeuse ou non fumeuse, inhale la fumée de cigarette de quelqu’un qui fume dans son environnement direct. Si, grâce aux différentes interdictions mises en place, il est de plus en plus rare de subir cette intoxication involontaire dans les lieux publics, tels que les bars, restaurants, transports publics et administrations, elle reste importante dans le cadre privé.

Quels sont les risques du tabagisme passif ?

Le tabagisme passif provoque de nombreux désagréments à ceux qui y sont exposés et peut causer de graves problèmes de santé. Il est très dangereux pour l’entourage proche du fumeur, en particulier pour les enfants, les personnes qui souffrent de troubles respiratoires ou les personnes âgées. Ces derniers subissent alors tous les effets néfastes de la cigarette sans même avoir choisi de fumer.

Il est parfois nocif pour le fumeur lui-même lorsqu’il consomme du tabac dans un environnement convivial, ou pire, dans un fumoir. Dans ce cadre, il inhale non seulement les toxiques issus de sa propre cigarette, mais aussi les nombreuses substances chimiques présentes dans la fumée secondaire, plus concentrée que celle inhalée en premier lieu, des fumeurs qui l’entourent à ce moment-là.

Tabagisme passif et grossesse, un cas particulier

Durant la grossesse, le fœtus en développement peut lui aussi être victime d’une intoxication tabagique préoccupante pour sa santé. Celle-ci peut être due au maintien de la consommation de tabac par sa mère qui l’expose alors aux substances toxiques que contient sa cigarette et qui passent dans son sang. Elle peut aussi être le résultat du tabagisme passif de la femme enceinte, si quelqu’un de son entourage fume régulièrement à côté d’elle. Malheureusement, ce phénomène peut avoir des répercussions sur la croissance du bébé et il n’est pas rare de voir naître des enfants en manque de nicotine durant les premiers jours de leur vie, puisqu’ils ne reçoivent plus leur « dose » via le sang maternel.

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Les dangers du tabagisme passif pour la santé

Les risques pour la santé des adultes

Inhaler régulièrement la fumée rejetée par les cigarettes d’un fumeur peut être à l’origine de problèmes de santé graves pour les personnes exposées. Plus l’exposition est prolongée et répétée, plus le risque augmente. Parmi les désagréments occasionnés par ce phénomène, on retrouve :

  • Les problèmes respiratoires : les substances chimiques présentes dans la fumée de cigarette peuvent engendrer une toux récurrente, de l’asthme, une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une augmentation des infections bronchiques et ORL.
  • Les maladies cardiaques et vasculaires : tout comme chez un fumeur, le tabagisme passif majore le risque de développement de maladies cardiovasculaires telles que l’angine de poitrine, l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral (AVC), l’hypertension artérielle.
  • Les cancers : l’inhalation de fumée issue de la combustion du tabac multiplie les risques de présenter un cancer du poumon, mais aussi de la vessie, de l’estomac, de la gorge et autres. Tabagisme passif et cancer sont donc intimement liés.
  • Des symptômes incommodants divers : maux de tête, vertiges, nausées, fatigue accrue.

Les risques pour la santé des enfants et nourrissons

Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets néfastes du tabac, car leur système immunitaire est encore immature. De plus, leur croissance rapide leur demande beaucoup de ressources qui sont alors plus difficiles à mobiliser par l’organisme dans sa lutte contre le tabagisme passif. Les enfants qui y sont exposés peuvent éprouver des troubles de croissance, des difficultés de concentration et d’apprentissage ainsi que des problèmes respiratoires qui ne seraient pas apparus dans un autre contexte.

Les risques pour la santé du bébé avant sa naissance

L’intoxication tabagique in utero, qu’elle soit due à un tabagisme actif ou passif de la mère, peut avoir des conséquences graves pour le développement du fœtus. Exposer l’enfant à naître aux substances toxiques dégagées par la cigarette augmente le risque de fausse-couche, de troubles de la croissance et de faible poids à la naissance. Le risque de mort subite du nourrisson est lui aussi accru dans les mois qui suivent la naissance.

La probabilité de développement de troubles de l’attention ou du comportement est également plus élevée, de même que la baisse des capacités cognitives. Enfin, tout comme pour les adultes et les enfants, la survenue de troubles respiratoires s’accroît, même si les voies respiratoires n’ont pas été directement exposées à la fumée. Cependant, cesser toute inhalation de fumée de cigarette au cours de la grossesse permet de réduire drastiquement tous ces risques, si les problèmes ne sont pas encore apparus.

Tabagisme passif : que dit la loi en Belgique ?

Au fil des décennies, la Belgique a mis en place diverses législations visant à encourager les fumeurs à renoncer à leur habitude tout en protégeant leur entourage contre les conséquences du tabagisme passif. Parmi les mesures anti-tabac qui ont eu un impact significatif sur la société belge, on peut citer :

  1. La loi de 1993 sur la protection de la santé contre le tabagisme, qui interdit la publicité pour le tabac à la télévision et à la radio, ainsi que dans les lieux publics comme les restaurants, les bars, et les discothèques.

  2. La loi de 2004 relative à l’interdiction de vente de tabac aux mineurs de moins de 16 ans, qui a été ensuite étendue à l’ensemble des mineurs en 2011.

  3. Le décret royal du 13 décembre 2005, entré en vigueur en janvier 2006, qui interdit de fumer dans les lieux publics clos tels que les restaurants, les bars, les lieux de travail, ainsi que dans les établissements de soins de santé.

  4. La loi de 2010 sur l’emballage neutre des produits du tabac, exigeant que les fabricants de cigarettes remplacent les emballages de marque par des emballages neutres comportant des avertissements sanitaires sur les dangers du tabagisme.

Ces mesures visent à réduire les méfaits du tabagisme passif en Belgique et à promouvoir un environnement plus sain pour tous.

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Comment lutter contre le tabagisme passif ?

La hausse du coût des cigarettes

En Belgique, le coût des cigarettes ne cesse d’être revu à la hausse, et ce, dans une perspective de lutte contre le tabagisme passif comme actif. L’augmentation du prix est due à la mise en place de taxes par le gouvernement tant pour encourager les fumeurs à en finir avec la cigarette que pour couvrir une partie des dépenses de l’assurance maladie pour la prise en charge des pathologies découlant directement de l’intoxication tabagique. Cette mesure, en parallèle des programmes de sensibilisation à l’arrêt du tabac, a permis de réduire efficacement le nombre de fumeurs français.

Les campagnes de sensibilisation contre le tabac

La lutte contre le tabagisme passe en grande partie par la sensibilisation du grand public aux méfaits du tabac. Élaborées dans cette optique, les campagnes de sensibilisation anti-tabac peuvent inclure des publicités télévisées, des affiches dans les lieux publics, des programmes éducatifs dans les écoles ou encore des interventions dans des lieux publics et autres initiatives similaires. Elles sont généralement financées par les pouvoirs publics et organismes à but non lucratif de lutte contre le tabac.

Depuis plusieurs années, au mois de novembre, la campagne « Mois sans tabac » rencontre un franc succès. L’idée ici est d’arrêter de fumer durant un mois afin de s’engager dans une démarche de changement tout en constatant les bénéfices apportés par l’arrêt de la cigarette. L’accompagnement régulier joue un rôle important dans ce processus. Tout au long du mois sans tabac, des professionnels de santé et de la lutte contre le tabac organisent des activités de soutien, des formations et des rencontres diverses. De nombreux ex-fumeurs ont débuté leur sevrage à cette occasion et sont restés abstinents par la suite.

Pour lutter contre le tabagisme passif, le meilleur moyen c'est d'arrêter de fumer !

Trouver la motivation en soi pour débuter son sevrage tabagique

Arrêter de fumer peut s’avérer difficile, surtout lorsque l’on a commencé le tabac il y a longtemps. Il s’agit pourtant d’une décision capitale pour améliorer votre santé et celle de votre entourage, mais aussi pour retrouver une meilleure qualité de vie et augmenter votre pouvoir d’achat. Pour affermir votre détermination, vous pouvez avoir recours à quelques astuces :

  • Listez les différents avantages de l’arrêt du tabac : bénéfices pour la santé, haleine plus saine, peau et cheveux plus beaux, argent économisé, protection de vos proches contre le tabagisme passif, etc.
  • Fixez-vous des objectifs clairs et réalistes : plutôt que d’envisager d’arrêter brutalement, vous pouvez tenter un arrêt progressif. Vous pouvez également faire l’inverse si, au contraire, maintenir une faible consommation de tabac est plus difficile pour vous que de stopper net.
  • Parlez de votre projet à votre famille et à vos amis en n’hésitant pas à solliciter leur aide et leur soutien. Vous pouvez aussi participer à des groupes de parole réunissant des personnes dans la même démarche que vous.
  • Envisagez des activités qui vous permettront de moins penser à la cigarette, si possible des choses qui offrent des bénéfices pour la santé physique et psychologique, comme le sport ou la méditation.
  • Ne pas oublier que si les rechutes sont probables, il est aussi possible de se ressaisir et de reprendre le sevrage, parfois en apprenant de nouvelles choses à son propre sujet. On peut très bien trébucher et se relever !
  • Valorisez chaque progrès. Par exemple, accordez-vous une récompense (restaurant, cadeau ou autre) quand vous êtes arrivé à ne pas fumer durant une semaine, durant un mois, durant un trimestre, etc.

La méthode laserOstop pour arrêter de fumer avec une plus grande sérénité !

Qu'est-ce que la méthode laserOstop ?

LaserOstop est une méthode de sevrage tabagique sans médicaments ni produits chimiques qui fait appel à un laser qui opère par photobiomodulation. Il s’agit d’une technique utilisée depuis plus de trente ans, dont l’avantage est d’être à la fois efficace, non invasive et parfaitement indolore. Elle permet d’arrêter le tabac en douceur, sans prise de poids, sans troubles de l’humeur ni effets secondaires.

Pour cela, le praticien laserOstop stimule différents points réflexes situés sur le pavillon de l’oreille pour agir sur les zones du système nerveux qui régissent l’addiction au tabac en général et à la nicotine en particulier. Cette technique permet d’enrayer les causes physiques de la dépendance et joue également sur l’altération de l’odorat et du goût souvent présente chez le fumeur. Elle permet ainsi d’influer sur les principaux mécanismes à l’origine des échecs souvent constatés lors des tentatives d’arrêt du tabac.

Une méthode efficace, même chez les personnes qui ont déjà subi une rechute

La méthode laserOstop convient à toutes les personnes qui veulent arrêter de fumer, y compris à celles qui ont déjà tenté le sevrage tabagique sans succès et ont alors rechuté. Ce laser anti tabac performant offre une action ciblée et ne demande qu’une seule séance d’une heure pour atteindre son objectif. Et si malgré tout, vous rechutez dans les 12 mois, vous pourrez bénéficier d’une nouvelle séance gratuite pour repartir sur les bons rails. Des centaines de milliers de fumeurs en Europe ont déjà arrêté de fumer avec succès et sans souffrance grâce au la méthode laserOstop. Ils n’attendent que vous pour les rejoindre !

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Arrêter de fumer laserOstop® méthode qui fonctionne nonadult
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méthode laserOstop

Vous souhaitez arrêter de fumer, mais vous avez l’impression d’avoir tout essayé sans succès ? Vous craignez les répercussions de l’arrêt du tabac sur votre humeur, votre poids, vos relations sociales ? Le sevrage tabagique au laser est probablement fait pour vous ! La méthode laserOstop, efficace et sans effets secondaires, a déjà aidé des centaines de milliers de fumeurs à en finir avec le tabac. Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette technique qui a aidé des milliers de fumeurs à arrêter de fumer en une seule séance !

En quoi consiste le sevrage tabagique au laser ?

L’utilisation du laser est une méthode innovante pour traiter la dépendance au tabac employée avec succès partout dans le monde. La méthode laserOstop, protocole de sevrage tabagique au laser, a déjà permis à des milliers de fumeurs d’en finir avec la cigarette.

Ne faisant intervenir aucune substance chimique au cours de la prise en charge, le traitement de l’addiction au tabac par laser permet d’agir sur les causes physiques de la dépendance, mais aussi sur les symptômes qui l’accompagnent (stress, altération du goût et de l’odorat). Il contribue également à réduire l’irritabilité, la frustration, l’anxiété résultant de l’arrêt du tabac. Mieux encore, le laser aide à arrêter de fumer sans prendre de poids, en limitant le besoin de compenser le manque de nicotine par les grignotages.

Les différents types de laser pour arrêter de fumer

Beaucoup de lasers utilisés dans le cadre d’un sevrage tabagique, notamment ceux en vente libre pour les particuliers, agissent par électrostimulation. Le traitement se concentre principalement sur le pavillon de l’oreille, c’est pourquoi on nomme également cette technique auriculothérapie. La majorité des lasers aujourd’hui présents sur le marché envoient des micro-vibrations à travers la peau afin de stimuler les plexus nerveux visés.

Une autre méthode de sevrage tabagique au laser existe : celle choisie par les centres spécialisés laserOstop. Le laser laserOstop agit par photobiomodulation, c’est-à-dire qu’il influe sur les points nerveux situés sur le pourtour de l’oreille grâce à la lumière qu’il génère. Très performant, il permet de traiter en même temps la dépendance physique efficacement, ce qui facilite l’arrêt de la cigarette.

Une garantie nationale

Nos centres laserOstop vous garantissent une prise en charge gratuite dans toute la Belgique

Praticien(nes) à votre écoute

À votre écoute et un service client 6j/7

Sans contre-indication

La méthode laserOstop est un protocole personnalisé qui s'adapte à chacun et sans contre-indication

Discrétion & confidentialité

Nos centres laserOstop sont tenus à la confidentialité de vos traitements de façon à protéger votre intégrité

Le déroulement d'une séance de laser en centre laserOstop

Le déroulement d’une séance de sevrage tabagique au laser avec la méthode laserOstop est très simple. Avant de débuter le traitement, le praticien vous pose des questions sur votre façon de fumer, les raisons qui vous poussent à allumer une cigarette, votre environnement quotidien, etc. Cet état des lieux préliminaire lui permet d’établir le bon protocole à utiliser afin de s’adapter à votre situation personnelle.

La séance dure ensuite une heure au cours de laquelle le thérapeute stimule les points auriculaires les plus pertinents. Et voilà, c’est fini ! En principe, une seule séance suffit pour rester abstinent définitivement. Et si jamais ce n’est pas le cas, une garantie de prise en charge gratuite s’applique en cas de rechute dans les 12 mois suivant le traitement initial.

Les avantages de la méthode laserOstop

À la fois sûr et efficace

Le laser laserOstop est conçu dans le respect des normes CE et NF. Fabriqué en Europe, selon un cahier des charges très précis, il est sans danger ni effets indésirables. La photobiomodulation est un procédé parfaitement maîtrisé, utilisé dans de nombreux pays depuis plus de 30 ans maintenant. On l’emploie notamment avec succès en dermatologie, en diététique ou pour le traitement de diverses addictions.

Des clients satisfaits

Uniquement employé au sein des centres de sevrage tabagique au laser laserOstop, le matériel laserOstop est manipulé par des techniciens expérimentés, ce qui permet un sevrage bien réalisé. Une majorité des fumeurs qui ont eu recours à cette méthode sont toujours abstinents (voir les avis clients). De plus, une seule séance suffit pour obtenir les résultats voulus et enrayer le processus d’accoutumance.

Une prise en charge complète

La méthode laserOstop traite à la fois la dépendance à la nicotine et les symptômes qui accompagnent et compliquent le sevrage tabagique. Ainsi, il permet d’arrêter le tabac sans souffrance, sans frustration et sans prise de poids. Cette prise en charge complète des mécanismes qui sous-tendent l’addiction au tabac est une excellente solution pour réaliser un sevrage en douceur, sans céder sur l’efficacité.

Adapté à tous les profils de personnes

N’utilisant que la lumière issue d’un laser à faible densité pour stimuler les points auriculaires qui favorisent l’arrêt du tabac, laserOstop constitue un traitement indolore et non invasif qui convient au plus grand nombre. Cette méthode pour arrêter de fumer ultra performante est destinée à tous ceux qui souhaitent en finir avec la cigarette, plus particulièrement aux personnes qui ont subi des rechutes avec d’autres types de prise en charge (patchs nicotiniques, acupuncture, hypnose, etc.).

Les centres de sevrage tabagique au laser laserOstop sont présents un peu partout en Belgique, en France et en Suisse pour ne citer que ces pays. Premier spécialiste européen du traitement de la dépendance à la nicotine par photobiomodulation, laserOstop a déjà permis à plusieurs centaines de milliers de fumeurs de ne plus jamais rallumer de cigarette. Et vous, êtes-vous prêt à vivre la révolution laserOstop ?

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